Une forêt absorbe en infiltration 75mm/h de pluie.

Le terrain tel que dans la vidéo ce doit être 2mm/h. Sans la pression du tracteur avec un cheval par exemple ça passerai à 5mm/h.

Un bon paturage ce sera 25mm/h.

Le bétonné c’est 0mm/h bien sûr.

Une vitesse d’eau à partir de 20cm/s errodera, après pour sédimenter la vitesse doit descendre en dessous de 1cm/s.

Avant il y avait des haies qui empêchait que l’eau prenne de la vitesse, il y avait des fossés, dans une pente l’eau ne s’infiltre pas trop, dans un fossé si.

Un terrain à nue se prend une goutte d’eau à 10m/s qui explose les particules fines qui formeront une croute imperméabilisante.

Ca c’est la partie physique, ça se calcule, chez moi quand ça tombe à plus de 23mm/h je préviens mon voisin de la protection civile que les habitants du barrio madre vieja risquent d’avoir les pieds dans l’eau.

Avant que ce soit construit le ruisseau qui a donné le nom au barrio avait 3 bras parallèles signature d’un ruisseau à faible débit qui parfois encaisse des débits énormes. Il a été "canalisé" l’innondation est normale.

Pour la partie biologique, vous donnez un coup de bêche dans votre jardin, vous regarder la gueule de la terre, vous pouvez faire la même chose dans la forêt ou un endroit naturel. Ensuite vous allez dans un champ agricole, il ne faut pas être un ingénieur agronome pour s’apercevoir qu’il y a un truc qui va pas. Jeune j’ai connu le fermier qui faisait tourner les cultures avec son année à luzerne. Quand il labourait avec ses chevaux, une belle terre noire remplie de vers de terre et autres insectes, bombance pour les oiseaux.

40ha, deux chevaux, l’Emile faisait partie des riches du village. Bon son lait n’était pas pasteurisé il fallait le faire bouillir. Pas besoin de cours théoriques d’un prof pour découvrir la force centrifuge, il y avait le pot au lait pour ça.