comme le démontre l’histoire du sorcier la question de la question n’est pas la question ( le libre arbitre oui/non ) mais la logique avec laquelle on l’aborde ...
une fois de plus les exigences de la pensée aristotélicienne nous empêchent de faire face au réel ....
prenons un exemple simple : la gravité
je suis en haut d’un immeuble si je saute je tombe ( je ne suis pas vil coyote avec une fusée dans le luc ) donc zéro libre arbitre ...mais si je suis conscient du risque je peux ne pas sauter ( inventer la fusée etc ) donc j’ai du libre arbitre et pourtant en même temps je n’en ais pas ( la gravité s’exerce quoi qu’il arrive ) ...impasse aristotélicienne : rien ne peut être a la fois noir et blanc ....et pourtant
la question du libre arbitre est nécessairement paradoxale : plus j’ai conscience des lois limitatives de mon action plus j’ai de libre arbitre et en même temps moins j’en ais .
l’idiot ne sait pas ce qui va se passer s’il saute et il est du coup plus libre que celui qui sait ...mais du coup s’il saute il devient moins libre ...a moins que ...
https://st6.ning.com/topology/rest/1.0/file/get/1700513679?profile=original
pour les fous inconscients on met des panneaux et on crée des lois ... : ne pas sauter ...
mais plus on est conscient plus on à la fois moins de libre arbitre et plus ...
quand aux fous conscients ....gate gate paragate .....