https://www.fawkes-news.com/2020/12/le-pr-perronne-sur-les-vaccins-covid.html
Le plus inquiétant est que de
nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les
semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces
produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de
l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce
jour.
Nous n’avons eu le
droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants,
permettant de faire flamber leurs actions en bourse.
Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.
On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules.
On
ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car
c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains «
vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions
incontrôlables dans notre corps ?
Les
premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets
avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN
vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances,
d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps
des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos
chromosomes.
Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs
(contrairement
au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une
enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de
l’ARN vers l’ADN.
Ainsi
un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder
pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos
chromosomes.
Il existe
donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a
aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos
ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à
nos enfants.
Les
personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement
appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les
Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.
Nous
ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le mais transgéniques des
OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des
laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours
qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne
fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc
sur la dynamique de l’épidémie.
C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.
Je
suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins
et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la
politique vaccinale.
Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant.