Un maître zen dont je me rappelle plus le nom a dit : c’est incroyable le nombre de petits plaisirs que l’on peut avoir lorsque qu’on est mort pour soi-même.
Maitre Dogen a dit : ce connaitre soi-même c’est s’oublier soi-même.
Etre mort pour soi-même, le boulevard royal vers la sagesse, l’éveil, le satori,...
Hué Neng le définie comme un non attachement ce qui inclus soi-même, son soi, ses idées, voir le monde tel qu’il est.
Le fond du seau qui lache c’est une bonne image, plus d’intérieur ni d’extérieur.
Louis Fouché a dû se détacher de beaucoup de choses, son soi qu’il avait bâti a fortement diminué et pourtant il est plus fort, quand il abandonnera ses derniers dogmes, peut être que le fond du seau lachera.
Très intéressant Louis Fouché en tant qu’homme.