Neuf heures après
avoir reçu une injection de Pfizer, un jeune de 22 ans est décédé. Une mort
que son père attribue à la vaccination alors que des sources médicales
concordantes l’associent à une allergie alimentaire grave.
Lundi 26 juillet, un Sétois de 22 ans est décédé vers 23 h.
Une mort tragique attribuée, par le père du jeune adulte, à la première dose de
Pfizer que ce dernier avait reçu, à 14 h, au centre de vaccination de Sète. À une très probable allergie alimentaire
grave, par des sources médicales concordantes, proches du dossier.
À noter que dans la journée du mardi 27 juillet, on
apprenait, par les pompiers, que le primo-vacciné avait été victime d’une
"réaction allergique de type œdème de Quincke (1), en général associée à
une allergie, souvent alimentaire".
Quoi qu’il en soit, suite à cette disparition, le père du
jeune homme avait laissé éclater sa douleur et sa colère dans une vidéo postée
sur sa page Facebook ; une séquence dans laquelle ce dernier fait clairement
une corrélation entre vaccination et décès de son enfant.
"Mon fils avait
22 ans, il a été vacciné à 14 h et il est décédé à 23 h. Il est criminel de
mettre sur le marché des vaccins qui n’ont pas été certifiés et testés
suffisamment et qui tuent des jeunes en pleine forme", explique entre
autres, avec véhémence, le père qui espère que sa vidéo, "va faire le tour
du monde".
Du côté de la direction de la Cpts (Communauté
professionnelle territoriale de santé de Thau), en charge du centre de
vaccination de Sète, on déclarait : "Nous partageons la peine et la
douleur de la famille. Mais que ce soit le vaccin, n’est pas établi. Il faut
être prudent car le décès est intervenu
longtemps après l’injection et après avoir mangé au restaurant".
La Cpts précisant que le jeune homme qui "avait déclaré avoir des
antécédents allergiques, avait été gardé sous surveillance plus longtemps pour
cette raison".
L’organisme indiquant qu’une "déclaration d’effet
indésirable grave" avait été faite auprès du Crpv (Centre régional de
pharmacovigilance) qui va procéder à une enquête. "Malgré ce drame, il faut continuer à vacciner pour contrer
le variant delta, 1 000 fois plus contagieux", précisait la direction
de la Cpts.
(1) Une réaction allergique violente.