Merci, Norman,
de continuer à montrer les coulisses du spectacle.
Le plan d’ensemble
est à peu près rassemblé, je crois.
1 Cadenasser
la pharmacie, qui n’est toujours pas exhaustive et continue à s’étoffer, en
interdisant aux médecins généralistes de barrer le virus quand il démarre chez les malades (jamais vu dans l’histoire de la médecine).
Sans cette interdiction généralisée, cette épidémie serait au mieux résolue, au
pire traitée par ceux dont c’est le métier, les médecins (voire par soi-même), comme on le fait depuis Hippocrate avec la
grippe.
2 En
interdisant, on expérimente des injections géniques en direct sur la population
mondiale qui ne marchent pas, parce que :
(a) il y a au
moins autant de vax que non vax qui étouffent dans les hôpitaux, parfois que
des vax,
(b) elles
relancent les vagues puisque ce sont les protéines spicules toxiques et
mutagènes qu’on injecte directement,
(c) elles
rajoutent artificiellement l’épidémie de thromboses,
(d) elles détruisent l’immunité naturelle qui perd
sa capacité à agir et désorganisent le métabolisme : fausses couches, règles
anormales, peut être stérilité à venir et maladies neurodégénératives, etc...
Le COVAX a
pour but de faire disparaître le groupe témoin des non vax dans les pays du Sud
(ce contre quoi Dipali Ojha fait barrage pour l’Inde, avec de bons résultats).
3 L’épidémie
non soignée est prétexte à supprimer les libertés individuelles comme jamais
cela n’a été fait (lire Foucault et la biopolitique : le fascisme de grand
papa, c’est la muleta pour les vieux boumeurs et jeunes crétins). L’Australie est
actuellement en tête de cette politique. Macron est l’un des meilleurs élèves :
il a eu l’intelligence de comprendre que tout le système « républicain »
français était déjà mûr pour faire du zèle à cette dictature et a démontré aux
autres « démocraties occidentales » que c’est possible dans un « paysdesdroitsdel’homme ».
4 On laisse
Schwab et sa mafia à son reset : la démolition contrôlée des économies
nationales, pour récupération par l’oligarchie mondiale.
5 On accélère l’étape vers l’identité numérique
(rapport du Sénat, roadmap de la Frau Von der Leyen, qui descend de la ligue
hanséatique : en route vers le crédit social). Voir Philippe Guillemant :
l’identité numérique est le cliquet sans retour pour accéder au fabuleux marché
des objets interconnectés et déposséder les zumains de leur vie, y compris
intime et biologique. Miam !
6 L’UE +
Lagarde poussent à l’euro numérique qui permettra enfin aux multinationales + banques + gestionnaires de fonds d’apurer cette dette mondiale en
récupérant comme gages tous les actifs et patrimoines restants des pays.
« Vous
ne posséderez plus rien et vous serez heureux » :
seuls Schwab, Gates et cie ont le droit de nous le dire, sinon c’est complotiste
quand les gueux s’en inquiètent. « Vous » : les gueux citizen children of the world et non pas
« Nous » : tous ensemble ouais.
Ce sera du capitalisme
autoritaire, conduit par la caste des gestionnaires, avec un crédit à la
consommation modulé selon les ressources attribuées au bétail et à la pleine et entière volonté parmi des zombies.