Francis Kalifat, président du CRIF : "Pas une voix juive ne doit aller au candidat potentiel Éric Zemmour"

Bien qu’il fasse partie de la communauté juive, ce qui lui donne un passe-droit pour une plus grande liberté d’expression, Zemmour a ouvertement critiqué le messianisme juif.

Zemmour dénonce le danger de ce messianisme juif à l’origine des révolutions communistes qui ont traumatisé l’Europe de l’est pendant des décennies en détruisant les patrimoines historiques, culturels et religieux des identités des peuples, provoquant la déportation de millions de personnes, femmes, enfants, vieillards, paysans, militaires en camps de concentration, pour la plupart morts dans d’atroces souffrances.
Ce qui a provoqué en contre-réaction l’avènement des régimes d’extrême-droite pour combattre cette révolution destructrice et mortifère.
Lisez également les deux excellents ouvrages du Prix Nobel de littérature Alexandre Soljenitsyne :
Deux siècles ensemble, 1795-1995. Tome 1, Juifs et Russes avant la révolution
Deux siècles ensemble, 1917-1972. Tome 2, Juifs et Russes pendant la période soviétique, et visionnez le très bon documentaire de Hervé Ryssen « Les juifs, le communisme et la révolution russe de 1917 ».

Seul Zemmour par son statut de juif, peut critiquer un peu plus ouvertement le messianisme juif (face à Szafran, Attali, BHL Edgar Morin, ...), et c’est pour cela qu’il est rejeté par la communauté.

Pour des critiques à peine plus radicales, une femme française de souche comme Cassandre Fristot et le général Delawarde sont immédiatement rappelés à l’ordre, et leur vie sociale brisée.