@bubu12

Les virus respiratoires aérosols tuent des personne déjà malades. Cela existe depuis toujours. Et le coronavirus SARS-COV2 ne fait pas mieux que les autres. Ce qui a changé c’est le chapeau qu’on lui fait porter ! 

Tout ceci n’est qu’une prétexte, une supercherie. Examinez de près le rapport « meadows »sur la « croissance (commandé par le club de Rome). Ce rapport date de près de 50 ans, et les évènements qui nous vivons s’ajustent parfaitement bien aux conclusions et aux projections de ce rapport. 

Vous avez le nez dans le guidon en parlant des chiffres du SARS-COV2. Ce sont les gens »déjà« malades qui meurent de ce virus, pas les autres. Il n’y a que ça à comprendre ! Chez une personne au système immunitaire »compétent« , les virus ne s’installent pas et ne sont jamais mortels. Retenez cette leçon. 

Le SARS-COV2 est un virus »ordinaire« . Il n’est pas été plus létal qu’un autre de ces 10 dernières années. Ce qui change la donne c’est le vieillissement de la population, d’une part, et, d’autre part, l’abandon du système de santé en France (et ailleurs). Il ne s’agit plus de »sauver des vies", les gens doivent mourir et la saturation des hôpitaux, des médecins, des spécialistes en tout genre, le démontrent. 

Nous approchons maintenant de l’heure de vérité : la confrontation des simulations Meadows avec « la réalité ». Sans fournir la preuve absolue que l’effondrement « prédit » par l’équipe Meadows se réalisera au cours du 21è siècle, cette confrontation des simulations à ce qui s’est vraiment passé depuis la publication du travail de Meadows est à tout le moins troublante. La confrontation des simulations de 1972 avec ce qui s’est vraiment passé sur les 30 ans qui ont suivi semble donc indiquer que ce travail avait une valeur prédictive « indicative » bien supérieure à celle des modèles purement économiques.

https://jancovici.com/recension-de-lectures/societes/rapport-du-club-de-rome-the-limits-of-growth-1972/?fbclid=IwAR1SlUW_ouKVc3KkshICekGa0A1Fgf3MkgHfkUlXRUJfWihiTAAtVUAHUig
https://jancovici.com/recension-de-lectures/societes/rapport-du-club-de-rome-the-limits-of-growth-1972/