@Étirév
Pour que l’harmonie soit complète, et non repliée sur elle-même comme le serpent se mordant la queue, il faut que cette harmonie comporte la possibilité d’un chaos, une discordance. Depuis un cerveau humain s’efforçant d’aborder ce mystère intellectuellement, ceci prend la forme d’un paradoxe. Pour un musicien, c’est une évidence sensible qui se vérifie dans la pratique.