@Conférençovore étant né en 1944 lors d’une alerte de bombardement toute ma vie a été bercée par les nombreuses Guerres du XX° Siècle
sur un fond de TERRIBLE Guerre froide. A l’Armée on ma enseigné dans le détail les effets médicaux à traiter par exemple d’un bombardement atomique sur Paris. Cela en était presque très drôle (?) d’autant que professionnellement j’utilisais tous les jours les rayonnements ionisants.

L’analyse historique n’a rien à faire avec une analyse biaisée par la passion ou l’orientation politique. Un fait historique reste un fait que naturellement toute pensée révisionniste cherche à effacer.

Les accords de Minsk, les USA ne garantissant pas cette accord pourtant validé à l’ONU, ont bien été signés par l’Ukraine qui ne les a jamais respecté, ce qui conduisait inévitablement à une intervention Russe voulue par les USA (même technique de pousser à la faute utilisée par les USA contre le JAPON) dans le contexte des analyses de Bredsinsky américano ukrainien principal conseiller des Présidents US, pour immédiatement effondrer économiquement la Russie par des sanctions massives SANS intervention militaire US (cf Déclaration immédiate et intempestive du Pr Biden qui aurait du faire comprendre aux Ukrainiens qu’ils allaient être les cocus de cette tragique Histoire), comme le Pacte de non agression a bien été signé entre l’Allemagne et l’Union soviétique et a entraîné immédiatement l’envahissement de la Pologne et donc la II° Guerre mondiale.
Vue la tournure des évènements on s’achemine sans doute vers une partition plus ou moins importante de l’Ukraine, à moins que au pire les Européens tiennent vraiment à un engagement atomique avec la Russie (cf réflexion de Poutine à une des premières entrevues avec Macron ("les Français veulent ils mourir pour l’Ukraine ?").
De très importantes manoeuvres de l’OTAN tout au long de la frontière Ouest de la Russie doivent parait il avoir lieu très bientôt et la Fête nationale Russe est le 9 Mai où on attend de Poutine un (important ?) discours !