@Conférençovore

Ah mais le volume de Nombril Sacré n’a aucun équivalent, même la carcasse un brin imposante du joufflu ségolâtre ne peut rivaliser en ce domaine...
Si ma mémoire est bonne la terre battue de Roland Garros fait moins frétiller la fibre égotique, pardon, érotique, que le gazon de Wimbledon qui fut ici-même le décor d’épanchements inouïs, d’une rare indécence...
Bon, cette année il y eut un tour de chauffe incongru avec la saillie de Nordhal Lelandais, nul ne peut exclure un Roland Garros déjà riche en effusions et autres projections...