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Commentaire de Conférençovore

sur Fille d'un homme d'affaires, elle renonce à une vie de luxe en Occident pour vivre dans une hutte avec un africain


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Conférençovore Conférençovore 17 août 2022 05:23

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Certains s’attendent sûrement à une réaction de type "eh ben voilà, encore de la propagande métissolâtre ! Encore une survalorisation de l’Africain qui aurait tout compris à la vie et une dévalorisation de l’Européen qui aurait tout à apprendre de lui. C’est insupportable !".

C’est effectivement ce que j’ai pensé et que je pense toujours mais en partie seulement. Cela ne suffit apparemment pas au non-auteur de se servir chez les autres pour putacliquer et se gargariser par la suite de ses pseudos-records. A tout le moins, il a sans doute compris ou au moins eu l’intuition que ces agissements devenaient franchement ridicules aux yeux du "lectorat" et qu’il fallait donc passer à autre chose... Passons (je n’ai précisé cela que pour lui faire plaisir car je sais à quel point il aime être le centre de tout... smiley Donc, cadeau ! )

J’ai écouté cette vidéo intégralement et, en réalité, sans doute faut-il en avoir une vision plus élaborée que ma première intuition. D’abord et à l’issue du visionnage complet, si celle-ci est effectivement bien une énième promotion des valeurs féminines (le perpétuel compromis, la tolérance bien souvent mal comprise, l’amour comme valeur ultime et nécessairement structurante, etc) et du métissage, nous devons partir du principe sans doute un peu naïf mais disons d’une neutralité bienveillante que cette même promotion peut être involontaire. Je vous le précise tout de suite : dès que j’ai vu apparaître des photos de couples avec le mec noir et la femme blanche (de mémoire, jamais l’inverse...), des photos de personnes qui n’avaient aucun lien avec l’histoire de cette Anglaise, j’ai compris que ma mansuétude, mes espoirs d’un reportage pour une fois non-orienté idéologiquement, d’un message sincère de tolérance, étaient des étoiles filantes et que j’avais juste formulé des voeux irréalistes.
On est bien dans de la propagande grossière de la pire espèce. D’abord parce que les fameuses photos de couples inter-raciaux en question sont prises... en Occident. S’il y a un endroit au monde où la tolérance (mal comprise) envers tout le monde est totale et même confine à la folie avec les mouvements BLM, woke, la promotion délirante des LGBT voire de plus (un petit coucou à Libé, journal subventionné qui a fait la promo de la pédophilie pendant des années...), c’est bel et bien l’Occident. En Occident on ne brûle pas les Albinos parce qu’on les considère comme diaboliques ou je ne sais quelles autres billevesées. En Occident, l’esclavage n’existe pas (contrairement à l’Afrique), En Occident, on ne pratique pas les mutilations sexuelles... du moins, soyons précis, les populations qui mutilent leurs enfants (garçons et/ou filles) ne sont précisément pas ou très rarement originaires d’Occident elles-même. En Occident, on ne permet pas à l’homme d’avoir x épouses (à part en France... eh oui, la polygamie est officiellement admise dans deux cas : sur le territoire africain de Mayotte et pour certaines unions contractées avant une certaine date et en France métro avec un contournement du système : c’est le cas de la famille Traoré par exemple : les femmes non officielles avaient juste le statut de femmes célibataires avec enfants... mais selon Assa elle-même, c’est bien une famille polygame). En Occident, on ne traque pas les homosexuels pour les dénoncer ou les brûler dans des pneus, contrairement à l’Afrique. En Occident on ne persécute pas les Chrétiens... enfin... en réalité si. Etc, etc, etc.
Bref, la tolérance, autant que faire se peut, elle est évidemment en Occident et certainement pas en Afrique. Ainsi les appels à la tolérance devraient être en direction de ceux qui la pratiquent le moins, à savoir toutes les autres contrées où elle est moins présente voire totalement absente comme dans de nombreuses zones d’Afrique et du Moyen-Orient (entre autres mais tout particulièrement).
D’ailleurs, parlons-en de la tolérance s’agissant de cette histoire d’amour dont je ne conteste pas la sincérité (ce n’est pas le sujet). En réalité, en pratique, bah... c’est un simple constat qu’il n’y en a aucune des Massaï à l’encontre de cette femme. C’est elle qui doit absolument tout accepter de leur part :


* l’absence de relations sexuelles avant l’union : je me demande bien si cette femme a bien conscience de ce que cela signifie ? Imaginons que cela se passe mal au plumard ou plutôt sur le sol en terre battue, que le mec s’avère violent et que cela ne lui plaise pas... elle fait quoi ? Je ne suis pas un promoteur acharné du sexe avant le mariage mais s’il y a bien un domaine crucial dans lequel la personnalité des individus se révèle pleinement et que l’adéquation, la bonne entente du couple se joue, c’est bien celui-là. C’est précisément toute la différence entre l’intimité et l’extimité. Dans le second cas, on est en société et il y a des lois, des codes non-formulés explicitement mais bien réels et à respecter scrupuleusement. Mais dans l’intimité, l’expression du désir et la manière dont chose se passe peuvent prendre toutes les formes que le couple décide mutuellement (ou pas d’ailleurs) d’avoir. Si son mari aime pisser sur la tête de ses femmes et les sodomiser à sec et que ce n’est pas le délire de Colette, il serait bien qu’elle en soit conscience avant les épousailles.


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