@nono le simplet
Puisqu’on
parle de faux derche.
Tout le monde prend cet air niais pour répéter que les vaccins n’empêchent pas les contaminations. Ça sert
à quoi un vaccin ? On vient de vous l’écrire avec Glaude : le
ministre Véran raconte à la tévé que le vaccin protège, mais quand il dit la
vérité aux juges, il écrit qu’il ne protège pas. Et il répond quoi le faux
derche ? :sarcasmes, dénigrements, pat inondation d’éditions sur le fil d’échange.
L’immunité
naturelle après contamination est plus efficace que celle vaccinale. Les anticorps
durent au moins 8 mois, alors que c’est estimé à plus ou moins 4 mois pour les
injections. Et quand les anticorps s’épuisent les lymphocytes mémoires B et T
sont vigilants pour les refabriquer. On a toujours refusé aux soignants déjà
contaminés qu’ils puissent présenter la preuve de leur immunité naturelle :
il suffit d’un test sérologique.
Alors, rebelote : ça sert à quoi un vaccin ?
- Les vaccins n’empêchent pas les c...
- Ah, oui, c’est vrai, il faut parler à des niais. C’est de la médecine punitive alors, le faux derche y trouve un plaisir différent à défaut de protéger et guérir : dégrader un état de santé présent.
Des études
ont constaté que des populations immunisées et injectées après sont plus
sujettes à contaminations nouvelles que celles immunisées et non injectées.
Pouvez-vous expliquer cet acharnement ?
- Réponse au paragraphe précédant.
Je vous ai
déjà mis en lien l’étude qui a découvert par sérendipité que les vieux en EHPAD
qui prenaient de l’ivermectine en préventif ne dépassaient pas les symptômes
légers de la maladie. Les soignants pourraient très bien prendre ce médicament
en préventif dont on a déjà mesuré que c’est moins létal que le doliprane. On n’a
même pas réussi à mesurer à partir de quelle dose ça devient toxique. Le faux derche va sortir ses vieilles pancartes : Trump. Ou Terre plate ; Ou Complotiste. Tout, pourvu que le sujet n’existe pas.
Quand au
code de déontologie médicale, concernant les nouvelles thérapies, il commence
avec le code de Nuremberg, qui a créé tout un secteur législatif avec lois et
conventions qui imposent :
- Le
consentement éclairé à l’expérience thérapeutique, dont ces injections ARNm n’ont
pas respecté les étapes. Et il s’agit d’obligation
d’information pour un volontaire à ‘expérience. Là, il n’y a même pas de volontaire,
puisque c’est obligatoire ou fortement contraint à l’expérience thérapeutique.
- Le primum
non nocere : éviter une expérience nouvelle s’il existe d’autres
médicaments aux effets éprouvés pour réemploi.
Tout ce
secteur juridique a été rejeté, pour imposer au prétexte d’une urgence une
expérience thérapeutique pendant qu’on a
interdit les traitements à la médecine générale. La perte de chance : c’est une doctrine
médicale ?
Le Glaude vous encore envoyé un message récent :
le CDC refuse de publier les déclarations de blessures après ces injections. La
FDA a refusé de publier tous les résultats des essais Pfizer. Les contrats de
Pfizer sont secrets, on ne sait pas combien ils ont coûté, Van der Leyen refuse
de le dire. Sans doute que la santé des individus, c’est comme le secrets militaires : pour le faux derche tout niais, il est normal que rien ne soit transparent à ce sujet.