@Conférençovore
Vous avez parfaitement raison de rappeler la notion de responsabilité individuelle et de l’opposer à l’association en bande organisée. La phrase de cet avocat mise en exergue est relative à la préméditation qui qualifie de fait une mort en assassina, il ne s’agirait plus d’un meurtre (mort sans intention de la donner). La peine encourue pour assassina avec préméditation (attendre dans des voitures sans avoir d’autres motifs que d’avoir le moment opportun pour passer à l’acte peut prouver une préméditation), la peine est plus lourde et auquel cas la responsabilité de chaque agresseur s’inscrit dans une association de malfaiteurs à des degré d’implication variable selon les actes commis par chacun et tous devront obligatoirement répondre de leurs actes mais sous une intention commune (bande organisée) qui signe la préméditation. Ce que notre bavard s’ingénie à masquer.
La justice n’a pas souhaité retenir la qualification d’actes racistes ; si cette qualification avait été retenue, la préméditation aurait été plus facilement reconnue et officialisait, par le biais de la justice, un racisme antiblanc qui jusqu’à ce triste événement a toujours été dénié par nos pouvoirs publics.