Le produit que tu nous exposes en participant à sa publicité par devers-toi est en réalité de la merde en barquette.

Toi, en revanche, t’es sans nulle doute un idiot certifié et convaincu.

Jacques Attali est assurément un agent du mouvement mondialiste uniformisé issu de la secte des élites financières occidentales, notamment dominées par l’ethnie anglo-saxonne et sioniste.

Son roman idéologique dont tu nous rebats les oreilles avec une joie non-dissimulée vise en première instance à influencer ses lecteurs en les amenant à considérer le monde tel qu’il le décrit sous sa plume de grand oracle et à se persuader de l’existence d’une sombre vérité discursive mêlant la conviction à l’amusement romanesque.

Le manichéisme qui découle de sa narration est de l’ordre de la fourberie, du transfert et du déni. Ce plagiaire déjà condamné est un immonde faiseur de fausses vérités et aussi un grimaud de pacotille.

Les vrais sombres sont de l’autre côté du miroir et de l’image inversée que ce dernier projette (le miroir). Ils sont parmi les agents d’influences en quantité massive qui ont pignon sur mass média. Les dénaturalistes, les déconstructeurs, les hominicides, les adeptes du mensonge tyrannique et univoque, les vendeurs de guerres hybrides, les faux prophètes et les pourvoyeurs de la paupérisation de masse et de la mort en guise d’ultima ratio.

Jacques Attali n’échappe pas à sa nature hybride par laquelle il mêle la vérité aux mensonges pour dérouter ses lecteurs un peu neuneu comme toi et qui aime tant se faire mousser en tombant dans l’illusion du réel ou du vrai.

T’es vraiment une quiche à roulette, vieil homme efféminé.