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Commentaire de rajtheeban95140

sur L'avortement, un droit menacé ?


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rajtheeban95140 (---.---.195.22) 29 février 2008 13:28

mon pauvre t’en a pas marre d’être con et aussi dogmatique en nous rafistolant les mêmes arguments athégristes

ta vision comlètement simpliste et stupide ici comme ailleurs te conduit à faire des raccourcis et des amalgames complètement réducteurs et injurieux : selon tes propres crachats les mouvements anti-ivg cachent en réalité essentiellement un arrière-fond théologique ; les opposants à l’avortement sont nécessairement des croyants ; mais c’est bien connu ! connard, regarde-moi je suis l’archétype même de l’opposant farouche à cette pratique de barbare, et comme tu as pu toi-même t’en rendre compte ( quoiqu’il est fallu que je te le rappel, car tu as du mal a cerner l’ironie ) je refuse à la fois les religions et l’athéisme que je trouve aussi benêt, et inutile ; on peut tout afait s’inscrire dans un horizon intellectuel et areligieux et n’en condamnait pas moins ce meurtre lache

bien sur je sais tu vas me ressortir les vieux arguments poussiéreux tout droit sortie de je ne sais quel trou :

1) on doit respecter le choix de la femme s’il elle décide librement d’avorter : je dirais d’abord, pour moi qui est étudié la philosophie en université pendant 6 ans, que la liberté en elle-même ne justifie rien du tout, pas plus que le fait d’avoir un cerveau ne témoigne d’une intelligence- je crois que tu en ait la preuve par trois il ne suffit pas qu’un acte soi décidé librement pour qu’il soit ipso facto respectable ; encore faut-il qu’il soit en adéquation avec tout un autre ensemble de valeurs, dont la liberté ne fait que partie : la liberté est la condition nécessaire mais pas suffisante de la légitimation d’un acte : nécessaire mais insuffisante : tu saisit la différence, pauvre athée ? il est bien évident que si l’embryon était un etre humain, aucune personne censée, sauf des fils de pute très certainement, ne justifierais l’avortement (sauf dans les cas extremes bien entendu d’un viol ou d’une malformation médicale avérée) : pourquoi ? parce que la dignité d’un être humain est plus grande que tout autre considération utilitariste et arriviste pour qui la fin justife les moyens or l’apparition de neurones, la possibilité d’être affecté par des stimilus, et donc la présence d’une sensibilité comme capacité à être affecté, l’impossibilité de déterminer a partir de quand apparait l’humanité de l’être que porte la femme en son sein, le fait que cette "apparition" se fasse progressivement, suffit pour pencher davantage en faveur de son humanité qu’autre chose : tu affirmes betement qu’un embryon n’est pas un être humain tu dois alors accorder pour ne pas que tu te contredises betement comme tu as tendance à le faire que cette humanité n’apparait immédiatement, ou instanténement, mais petità petit, progressivement ; mais alors connard quand est-ce qu’apparait ce "progressivement" ? tu dois bien être embêté pour le dire : a partir de quel moment un ensemble de grain de sables devient-il un tas de sables ? impossible de le dire ; plutot que de raisonner d’une manière aussi stupide que la tienne, la meilleure réponses serait la suivante : la question "a quel moment devient-on riche ?" ne pouvant pas non plus admettre de réponses claire et précise il est clair qu’il faille déterminer cela progressivement ; mais à quel moment déterminer ce "progressivement" ? là non plus impossible de le dire ; la solution est bien entendu de faire débuter ce "progressivement dès le moment où l’on possède au moins une pièce ; et alors on ne dirait pas connement qu’un tel est humain ou non, comme on dit qu’un tel est riche ou non (alors qu’ils ont tous les deux une certaine fortune), mais on raisonnera en terme de plus ou moins en disant que celui qui pèse 999999999 euros est plus riche que celui qui ne possède qu’une pièce ; mais dans les deux cas on trouve le concept de richesse de la meme facon l’embryon doit également etre dit humain, quoique moins humain qu’un bébé, qui est lui-même moins humain qu’un adolescent car sans conscience de soi, lui-même moins humain qu’un adulte qui a un esprit libre et fait usage son sesn critique il n’a pas de conscience dirait-on certains masturbateurs ? mais un enfant de 2 ans non plus connard n’a pas de conscience : la conscience de soi est la conscience d’être l’auteur de ses pensées et de ses actes, symbolisés par le pronom personnel "je" ; or un efant de cet âge parle de lui en s’appellant par son prénom : si tu as eu des enfants normaux, chose qui m’étonnerait, ils n’ont aucune conscience, car celle-ci n’intervient que dans les alentours de 5 ans ; avant les enfants n’ont que le simple sentiment de soi ; s’il fallait suivre ton raisonnement stupide et définir la marque de l’humanité par la conscience alors tes sales mioches ne sont pas des être humains ; tout comme les animaux ils n’ont qu’un simple sentiment de soi (tu saisit la différence avec la conscience de soi !!??!!) ; oui tu auras compris : tes mioches ne valent pas plus que des animaux

tu veux me faire croire qu’il s’agit d’un choix libre, d’un droit ? mais tu fonces droit dans le mur, mon pauvre ! si tu part du principe qu’une femme qui vit dans des conditions financières déplorables concoit et éduque un enfant des ces circonstances se comporte mal , c’est donc que tu penses que c’est un devoir pur une femme d’avorter que elle tombe enceinte dans de telles conditions : où elle est alors le choix libre puisque elle doit se soumettre à une obligation extérieure et même à la vindicte populaire, car il y aura toujours des cons comme toi pour stigatimser celles qui refusent d’avorter

2) autre argument que tu ne manqueras pas de me cracher à la figure : son coprs lui appartient : la décision d’avorter alors également : raisonnement complétement sophistique car ce droit en fait n’en a jamais été un ; d’une part parce qu’un enfant se fait à deux ; même dans le cas où le couple conçoit par erreur, parce qu’ils sont complètement cons au point qu’ils réussissent à concevoir malgré toutes les méthodes de contraceptions qui existent, comme ce fut ton cas, il est évident que l’enfant s’étant fait à deux, a moins que ton ancienne compagne se soit fait engrosser par un autre, l’homme a aussi son mot à dire ; deuxièmement et surtout ce droit est une aberration, puisque cette décision peut etre unilatérale et se faire contre l’avis de l’homme ; et alors la femme use et abuse d’un droit ; c’est une aberration dans la mesure où la femme n’a absolument aucun mérite dans le fait que ce soit elle qui porte l’enfant et non l’homme qui n’a pas non plus fautif dans le fait que ce ne soit pas lui ; c’est un phénomène purement naturel indépendant de l’arbitraire humain ; c’est un don injuste car la femme revendique un privilège qui n’est pas le produit de son oeuvre ; un droit social n’est légitime que si il est le produit d’un effort personnel ou alors s’il profite à tous ; or il est bien évident que le fait que ce soit la femme seule qui porte l’enfant naturellement est une injustice, un donc inégalement répartie qui porte préjudice dans tous les cas (même si le mari est de son avis) car il est revendiqué comme étant un droit alors qu’un droit naturel inégalement répartie n’est en mesure de fonder aucun droit civili ou social

mais ces arguments philosophiques peuvent paraitre trop abstraits à esprit aussi obtus, terre-à-terre et matéralistes que le tien : tu vas m’objecter que moi je n’ai aucun vécu, que je me permet de dispenser des jugements alors que je n’ai jamais été confronté à ce genre de situation évidemment car toute personne dotée d’un minimum de cerveau sait prendre ses précautions et éviter de mettre sa compagne enceinte ; avec tous les méthodes contraceptives existantes, il faut vraiment être d’une stupidité et d’une sôtise affligente pour trouver le moyen de faire un enfant ; mais c’est justement parce que je n’ai jamais été confronté à ce genre de situation que je suis en droit de donner mon avis : car la femme et l’homme qui se trouve dans le dilemme d’avorter ou non sont bien trop impliqués, ils sont incapable de pouvoir prendre la distance critique nécessaire pour bien juger des choses ; leur décision arrêtée ne peut etre que le fruit d’une délibération guidée par l’émotion, par la conscience du moment et non une décision mûrement réfléchie

tu me dis d’une manière triviale que si l’avortement était pénalisé les femmes continueraient à avorter, et cela clandestinement et avec les risques que cela leur fait encourir : raisonnement stupide car le risques sont nettement moins grands sous l’interdiction que son autorisation ; si je devais raisonner d’une manière aussi arriviste que la tienne pour qui la fin justife les moyens, sache pour ta gouverne, mais tu n’as pas du interroger beaucoup de femmes sur ces choses là, que les femmes ne sortent que rarement indemmes du point de vue psychologique de ce genre d’expérience ; au point qu’il y davantage moins de risques a conserver l’enfant (s’il n’est pas le fruit d’un viol ou est handicapé)qu’à l’avorter comme une merde

tu affirmes qu’il est de plus en plus difficile d’avorter en france ? j’aurais aimé que ce soit plus simple il y a quelques années, ça aurait permis à des crétins comme des parents de pouvoir avorter sans qu’on ait à supporter un type comme toi ; mais ta vision est complètement en total décalage avec la réalité, dans la mesure où les pratiques de l’avortement ne font qu’augmenter depuis une dizaine d’année ; s’il tend à diminuer c’est bien entendu uniquement parce que les jeunnes filles commencent à davantage faire preuve de maturité et à accepter cet enfa

nt qu’elles ont elles-même mises au monde, en assumant la responsabilité de leur acte

c’est quand même assez effrayant que de lire un raisonnement aussi étroite d’esprit que le tien qui assimile comme un sacrifice le fait de faire naitre cet enfant non-désiré : pauvre con, ton raisonnement foireux tombe à l’eau, et fonc comme ta merde sur une cuvette, quand on sait qu’une grande partie des couples réussissent toujours à se débrouiller pour trouver un moyen de s’en sortir ; quoi tes parents n’auraient pas été là pour vous entourer ? oh ils sont encor plus cons que je pensais ; que pensait de ce raisonnement quand on sait que beaucoup de couples ont réussit à s’en sortir tout de même, alors qu’ils croyaient stupidement que ce serait la fin du monde que d’accepter cet enfant

aristote disait qu’on peut définir l’être en 4 façon, et qu’on devait définir un être non seulement dans ce qu’il est en acte, mais également dans ce qu’il est en puissance, en devenir ; si un embryon en acte n’est pas encore un humain (en admettant cette stupide hypothèse) alors il faut nécessairement concevoir l’embryon comme un être humain dans la mesure où si on le laisse se développe normalement il deviendra un bébé et donc un enfant etc du coup ton exemple complètement con de spermatézoide tombe à l’eau : car en puissance il n’est rien ; si on laisse un sperme tel qu’il est il resteras toujours un sperme, a moins qu’il féconde un ovule, donc avec l’interaction d’un corps étranger ; or il en est autrement dans le cas d’un embryon car c’est par lui-même que son potentiel se réalisée, qu’il devient ce qu’il est en puissance ; si tu laisses un sperme en l’état dans tes pauvres testucules, il ne donnera rien, car il a déjà atteint son stade final ; si tu laisse un embryon se développer normalement il est nécessairement conduit à devenir un bébé : le fait que cette potentialité le conduise nécessairement au statut d’être humain suffit à certifier qu’il en est un

alors pauvre con laisse de coté des vieilles expériences qui ne justifient rien, pauvre type qui se permet au nom de sa pauvre expérience de croire qu’il est forcément le mieux placé pour juger des choses ; aucun des tes arguments ne réistent car ils sont du vent


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