Bien sur, il y a des règles à respecter, mais bruler du bois est bien une solution durable, notamment en Europe où les surfaces de forêt augmentent. La forêt stocke du carbone, qu’on relâche dans l’atmosphère : le cycle du carbone est court, contrairement aux énergie fossiles (le même bois se transformerai en partie en pétrole, mais au bout de millions d’années.) C’est le principe des biocarburants. Par contre, l’utilisation massive du bois qui réduit la forêt, comme en Haïti, en Asie, en Indonésie, en Afrique subsaharienne... est un désastre écologique. Tout comme le remplacement de la forêt équatoriale par la canne à sucre. Le bois, comme toute source biologique d’énergie est une partie de la solution, qu’il convient d’utiliser avec parcimonie pour rester dans le cadre d’une utilisation durable, dans le cadre d’un cocktail de solutions diverses. Malheureusement, tous les industriels, pour réduire leurs coûts, cherchent à étendre leur solution favorite, trop souvent sans prendre en compte la régénération des stocks.