Oui, une très mauvaise nouvelle...
Aucun pays, ayant déjà récolté les JO, n’a finit de payer ses factures. Elles s’ajoutent à la dette virtuelle colossale bien que l’oligarchie impose à tous les états aliénés et qui l’enrichie elle exclusivement.
Les JO, c’est le symptôme de la grave maladie dont sont atteints tous les pays d’un Occident totalement délirant :
- drogues omniprésentes chez tous les sportifs,
- esclaves surpayés, représentants de modèles d’identification des masses zombifiées,
- détournement du national vers un nationalisme privatisé hors sol et financiarisé pour le seul intérêt de groupes privés totalitaires,
- vanité totale de candidats décervelés qui n’hésitent plus à "s’augmenter" à la chimie pour décrocher un bon point, passeport d’un enrichissement pathologique,
- fabrique de champions artificiels dont les victoires ne signifient qu’une forme d’esclavage consenti,
- défiguration à venir de l’environnement par les constructions délirantes que l’Âne Hidalgo et son gang vont faire voter,
- accélération du projet pharaonique et ruineux du "grand Paris", qui achèvera cet autre délire d’une Grande Région de Hauts Profits, future Île de France, vouée à ne fonctionner que comme une zone de profit au détriment de la Vie saine, zone où s’entasseront les prochaines masses d’esclaves qui feront tourner cette métropolis mégalomaniaque,
- enrichissement exclusif des multinationales et endettement de la population française après la "fête",
- création de prochaines zones de mort citadine comme on en trouve en Espagne aux alentours de Barcelone qui n’en finit plus de chercher à recycler des bâtiments d’une laideur achevée dont personne ne sait que faire.
Comme aurait dit un personnage politique de France qui détestait vraisemblablement le peuple français : "Ils chantent ? alors ils paieront..."
Les JO, c’est l’achèvement de la mégalomanie d’un Occident en phase terminale et qui, halluciné, continue à hurler à la face du monde, l’oeil unique écarquillé par la folie délirante : "On a ga-gné ! on a ga-gné !" avant de s’effondrer dans le pourrissement inexorable déjà en route.