La majorité des français fuient d’une manière ou d’une autre les conséquences de l’opération "frontières ouvertes" : déménagement, demande de mutation en province, école privée, utilisation de la voiture personnelle plutôt que des transports en commun, etc...
Mais ce n’est pas pour autant qu’ils sont près à descendre dans la rue. La plupart n’aspirent qu’à un vie calme, ce qui ne va pas vraiment avec des rassemblements sur la voie publique.