En 2005 le journaliste de Libération, Christophe Boltanski, s’était fait agresser à 2 pas de policiers tunisiens.
Il enquêtait sur les violations des droits de l’homme.
Une pure provocation ! Le gouvernement, avec embarras, avait demandé une enquête et puis a oublié.
"le journaliste a précisé qu’il avait été roué de coups de pieds et qu’il avait reçu un coup de couteau dans le dos. Il a pu rentrer à son hôtel, et un médecin lui a fait quatre points de suture. Les agresseurs, dont on ignore dans l’immédiat les identités, lui ont pris son sac avec ses carnets de reportage."