Je ne vois pas les choses comme Jean Bricmont - contre qui je n’ai rien de personnel, je m’empresse de le dire. D’ailleurs, je partage son point de vie quant à l’illusion de la liberté, mais je retiens que la masse de nos contemporains se satisfait de cet ersatz.
L’aspiration de l’homme à la liberté est une invention de philosophes qui enrageaient de ne pouvoir diffuser largement tout le mal qu’ils pensaient des institutions de leur temps, et qui ont, abusivement, prêté leur frustration au reste de la société. Qui s’en foutait comme de colin-tampon
Ces pauvres crétins - les Lumières et assimilés -, bouffis de suffisance, avaient la puérile certitude de posséder la clé du bonheur universel et ils voulaient la peau des ’’puissants’’ et de leurs pouvoirs constitués qui leur interdisaient, croyaient-ils, d’accéder à la serrure,
Les âneries avaient commencé avec les vaticinations du gamin La Boétie, dont l’estomac était trop délicat pour les lipidiques ragoûts de Nicolas Machiavel. Elles n’ont plus cessé. Maintenant, le moment semble venu de se référer aux fondamentaux des fondamentaux, si on veut échapper à la gangrène mondialiste.