Donc, pour boucler le fil, je
reviens sur le début de l’échange : on est d’ accord tous les deux avec
Michel Drac sur la nécessité d’une gouvernance globale, qui ne doit pas être
celle des multinationales et de la finance mais des peuples dans le cadre de la
coopération de nations souveraines.
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En fait, la question-clef, c’est la question des garanties.
Car, qu’est-ce qui nous certifie, au final, qu’un gouvernement
international (quelle que soit, du reste, la portée de ses pouvoirs)
aura bien le "contenu" souhaitable pour satisfaire à l’intérêt général, d’une part, et d’autre part, que les choses demeureront ainsi ?