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  • Premier article le 20/07/2008
  • Modérateur depuis le 17/09/2009
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Derniers commentaires




  • 3 votes
    News 11 mai 2011 13:35

    Et si, c’est juste. Bernard Thibault est bien membre du siècle, mais cette info est très peu connue. Le siècle est une société discrète. Des hommes de pouvoir s’allient pour défendre leurs intérêts communs dans l’opacité la plus totale. Syndicalistes, intelligentsia médiatique, financiers, hommes d’affaires influents, politiciens et chefs de grandes entreprises s’y côtoient lors d’une RDV mensuel Près de la place de la concorde à Paris. 



  • 2 votes
    News 25 avril 2011 08:29

    Faut arrêter la fumette. Souffrez-vous d’un délire de persecution ? Police et Gendarmerie Nationale ne tireront jamais sur la foule. D’une pat, c’est culturel et d’autre part nos forces de l’ordre son formées dans ce sens là. Ce qui pose problème, c’est le recours à une milice citoyenne pour renforcer les effectifs de Police. une récente loi vient d’autoriser la création de patrouilles "mixtes" avec des volontaires d’appoint. Cela pourrait fragiliser le sang froid et l’unité "républicaine" des forces de l’ordre.



  • 5 votes
    News 16 avril 2011 14:52
    Dans un entretien du 20/12/2OO4, Bernard Debré, chef de service d’urologie à l’hôpital Cochin, et Philippe Even, président de l’Institut Necker avaient sonné le tocsin, mais les puissants lobbys de l’industrie pharmaceutique n’ont jamais été contraint par les pouvoirs publics de modifier leurs habitudes.
    Comment réagissez-vous au retrait du Vioxx et aux doutes sur le Celebrex ?

    Bernard Debré : Ces affaires, comme d’autres concernant certaines statines et certains antidépresseurs, posent le problème des essais thérapeutiques présentés par les laboratoires pour obtenir une autorisation des médicaments. Beaucoup d’essais sont mal conçus, biaisés, voire falsifiés et souvent trop dispersés sur la planète, dans le seul but d’élargir les marchés. Avec 20 000 malades sur 800 sites, les résultats, dilués, ne peuvent pas être fiables.

    Deuxième critique, la plupart des essais sont réalisés contre placebo et non pas contre un médicament similaire, déjà autorisé. Donc, rien ne prouve que ce nouveau médicament ait un effet supérieur à ceux qui existent déjà. Enfin, 90 % des essais ne sont jamais publiés ou révélés , car les laboratoires sélectionnent ceux qui paraissent montrer une efficacité de la molécule et cachent ceux qui démontrent qu’il n’y a pas d’effet, voire qu’il peut exister certains risques. Et c’est ce qui s’est passé dans l’affaire du Vioxx et d’autres.

    Philippe Even : Un des problèmes vient de ce qu’il y a eu, jusqu’en 1984-1985, des avancées thérapeutiques formidables permettant de contrôler assez bien une grande partie des maladies. Mais l’industrie pharmaceutique a mangé son pain blanc.

    La biologie est devenue si complexe qu’on ne découvre plus de médicaments d’action large, capables de conquérir de vastes marchés - les fameux "blockbusters" à plus de 1 milliard d’euros par an. Les découvertes ne concernent plus que des pathologies précises et limitées, donc des marchés étroits. Les grands laboratoires essaient donc de faire du chiffre par le nombre de boîtes vendues, ce qui amène parfois au dérapag

    L’Agence française (Afssaps) et l’Agence européenne du médicament sont-elles à l’abri d’une mise en cause comme celle qui a touché la Food and Drug Administration (FDA) américaine ?

    P. E. : Certainement pas. L’Agence française est bâtie sur le même modèle que la FDA, mais la FDA, c’est 10 000 personnes, tandis que l’Afssaps ou l’Agence européenne, c’est quelques centaines. Par ailleurs, les experts des agences sont trop souvent liés à l’industrie pharmaceutique. Et 70 % du budget de l’Agence européenne sont fournis par l’industrie pharmaceutique, qui est ainsi en situation d’être juge et partie.

    Pensez-vous que, en France, le contrôle du médicament soit suffisamment efficace ?

    B. D. : Les laboratoires fabriquent de plus en plus de médicaments qui ne sont en fait que très légèrement différents de ceux existants. Ce sont presque des copies, qu’on appelle "me too" dans le jargon médical, et qui ne présentent pas d’intérêt thérapeutique supérieur. Il n’est pas normal que l’Afssaps donne une autorisation de mise sur le marché pour ces produits simplement pour que les laboratoires rebondissent avec un nouveau brevet protecteur et évitent les génériques.

    Ces médicaments sont promus comme des nouveautés et ils coûtent cher à l’assurance-maladie. Dans cette affaire, la faute n’est pas à rechercher du côté des laboratoires, qui cherchent leur intérêt financier. Le problème est au niveau gouvernemental et paragouvernemental.

    P. E. : Il y a d’autres problèmes au niveau gouvernemental. Au moment de la mise sur le marché d’un médicament, les indications thérapeutiques sont bien ciblées. Et puis, sur le terrain, on constate des dérives majeures dans la prescription. La publicité des laboratoires, les visiteurs médicaux qui font du marketing auprès des médecins, le laxisme généralisé des prescripteurs, l’absence de formation médicale continue indépendante de l’industrie, tout converge pour que les indications initiales soient dépassées.

    (...)

    Sources

     (*). Entretien du 20/12/04 réalisé par Cécile Prieur pour le journal Le Monde

     L’article "Du labo à la pharmacie" par Florent Latrive publié dans Libération du 03/01/2005

     L’article "Le circuit français de l’autorisation" paru dans Le Monde du 21/12/04

    Bibliographie

    "Savoirs et pouvoir, pour une nouvelle politique de la recherche et du médicament" - Auteurs : Debré B. et Even P. - Éditeur : Le Cherche Midi (2004).

    "Le grand secret de l’industrie pharmaceutique" - Auteur : Philippe Pignarre - Éditeur : La Découverte (2003).

    Source web

     



  • 6 votes
    News 10 avril 2011 19:07

    Film instructif, percutent de vérité.



  • 1 vote
    News 8 avril 2011 22:32

    Robert Ménard est voltairien, c’est indégniable. Cet homme est un résistant, membre de l’élite populaire, il se sent investi du devoir de défendre les valeurs héritées des lumières, ces valeurs qui ont forgées notre société. Et il s’execute avec courage et brillo. Je dis respect !

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