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  • Premier article le 16/05/2015
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  • 1 vote
    ffi 2 janvier 2020 19:55

    @yoananda2
    « justement des gens qui n’ont pas des théories plein la tête et qui font un peu à l’instinct peut être (je ne sais pas).

     »

    Ceci n’est vrai que si les théories en tête sont fausses. Il y a plein de cas, où, en physique, par exemple, pour faire un pont, avoir une théorie correcte est un atout.

    En fait, l’élite est instruite par la théorie, dans le supérieur, puis commence à travailler directement à des postes de cadre et de décisionnaire. Donc, jamais elle ne se confronte au réel. L’ennui, c’est quand les théories apprises sont fausses.... Et c’est très facile d’apprendre n’importe quoi à des gens totalement inexpérimentés. D’autant que les profs sont assez coupés du réel aussi.

    Donc oui, l’élite a des théories plein la tête, du fait de l’enseignement. J’admets que rien que cela est un problème : l’éducation ça devrait être plus que de la théorie (savoir-être, savoir-vivre, vertu morale,...) : le vrai meneur, ce n’est pas quelqu’un qui connaît plein de théories. Il a les conseillers pour cela. C’est quelqu’un qui a une énergie morale, qui sait emmener les autres à sa suite.

    C’est l’erreur de casting de Macron. Avec lui, on a élu un genre de conseiller, avec plein de théories en tête. Du coup, il n’entraîne personne à sa suite, l’écouter étant soporiphique. Bref, Il n’a rien d’un meneur. Comme il sait déjà tout, il n’a pas besoin de conseil, il n’écoute personne. Et comme les théories qu’il a apprises à l’Ena et à Science Po sont frelatées, on obtient ce contraste comique : avec une grande assurance, il fait de la merde.



  • 1 vote
    ffi 2 janvier 2020 19:27

    @gaijin
    NB : une scop n’est pas une société anarchique, l’écart des salaires est souvent limité dans les statuts. Il y a évidemment une hiérarchie dans une Scop. L’ouvrier n’est pas le directeur, même s’il peut participer aux assemblées générales.

    Prend l’exemple d’une grande scop, comme Mondragon en Espagne, elle a finit par ouvrir des usines au Maghreb, y embauchant selon un statut classique de salarié. Chez les socios, l’écart de salaire serait de 1 à 12. Il faut payer 10 000 euros pour être embauché.
     
    Ceux qui sont mieux payés sont d’abord ceux qui sont au plus près du robinet à pognon. Comme le sang, le pognon afflue vers la tête : les hautes sphères en prennent donc la plus grande part. Premier arrivé, premier servi.

    Malheureusement, l’homme est fait ainsi. Dès qu’il doit se prendre en ligne de compte, il se voit, par illusion, plus grand que les autres (sauf pour moi, qui me vois plus grand qu’autrui à raison, mais c’est un cas particulier, je vous expliquerai). Il s’ensuit que l’arbitrage pour un patron ou un directeur est assez rapide quand il s’agit de répartir les salaires. Il ne peut se payer comme un balayeur, question d’honneur ! C’est une tendance tout-à-fait naturelle.

    C’est évidemment le rôle de la puissance politique de limiter les écarts de salaire, rôle qu’elle a abdiqué, du fait de son idéologie libérale-libertaire.



  • vote
    ffi 2 janvier 2020 13:44

    @toubib41
    C’est parti pour tout mélanger...
    Vous savez, il y a une petite émotion, la panique, qui rend comme tout fou. Faudrait apprendre à la maîtriser. Des petits rusés peuvent s’employer à faire naître ce sentiment en vous pour vous rendre impotents.

    Ce type-là, c’est un arriviste. C’est si humain. Les ambitieux cherchent les bons filons pour en tirer profit personnel. Dès qu’une idéologie est à la mode, on les voit pulluler. Mais je le redis, scientifiquement, rien ne prouve un réchauffement climatique d’origine anthropique. Le nombre d’ouragan n’augmente pas et rien ne prouve qu’il va augmenter.



  • 1 vote
    ffi 2 janvier 2020 09:44

    Encore un nouveau gars qui veut se faire passer pour un prophète de la planète...

    Soyons sérieux 5 minutes : En général, il est quasiment impossible de prouver un lien de causalité. Seules des situations particulières, lorsqu’il est possible de produire le phénomène étudié dans des conditions contrôlées, dans une éprouvette, ou en laboratoire, le permettent.

    Or, on ne peut pas mettre la Terre sous cloche. Les scientifiques n’ont trouvé que des corrélations.

    L’effet dans une serre ne vient pas d’un piège à rayonnement, mais d’un blocage de la convection. Lorsque l’air est chauffé, il s’allège, donc s’élève, par principe d’Archimède. Dans une serre, ce n’est pas possible, la lame d’air est maintenue immobile, donc la chaleur s’y concentre.

    À l’origine, il y a une erreur de conception du savant Arrhenius qui n’a juste pas compris comment fonctionnait une serre. C’est une vielle théorie du début du XXe siècle. C’est pourquoi le Giec va parler de « forçage radiatif », plutôt que d’« effet de serre ».

    En fait, le CO2 n’a que deux petite bandes d’absorption sur l’immensité du spectre électromagnétique. Angström, en découvrant le spectre du CO2 se serait vertement écharpé avec Arrhenius.

    Au final, on a quoi ? Des corrélations, sur lesquelles on a construit des supputations, assistées par ordinateur : vu comme on sait faire des effets spéciaux en informatique, cela ne prouve rien ; Autant prendre un film d’Hollywood pour la réalité le programmeur sait arriver là où il veut. De ces supputations, nos politiciens tirent des lois, obligations, des contraintes, augmentent les taxes, pour dépenser des sommes d’argent considérables, ceci avec bonne conscience (Un politicien adore contraindre au nom du Bien)

    Ce sont des fous, je n’ai pas d’autre mots. D’une imprudence folle.



  • vote
    ffi 1er janvier 2020 19:30

    La thèse est assez classique et bien explicitée. Cela peut rappeler Dany-Robert Dufour. Je note un point :

    Le terme capitalisme est employé à la place du terme libéralisme.

    En effet, ce qui a incité les états à autoriser une accumulation sans limite de capital, c’est l’idéologie libérale. Le libéralisme, c’est cette licence donné à tous de pouvoir accumuler sans limite, laquelle, au final ne profite qu’à très peu. Le capitalisme, c’est le culte qui en découle, cette occupation compulsive des financiers d’amasser, permise par le libéralisme.

    Si le diagnostique est correct, le philosophe ne va pas aux conclusions. Il déplore l’absence d’interdit d’accumulation, mais n’arrive pas à comprendre que pour le rétablir, il faudrait un pouvoir, au minimum, autoritaire, qui n’hésite pas à croiser le fer avec les puissances financières.

    Cela aurait naturellement pour corolaire des tensions géopolitiques. Nul doute que les Puissances géopolitiques qui n’auraient pas la même approche défendraient les intérêts de leurs géants économiques. En premier lieu, les USA, par exemple.

    La réflexion doit donc continuer : comment parvenir à faire entendre la nécessité d’une limite ? Comment parvenir à mettre en place de telles limites ? A quel seuil fixer cette limite ? Faut-il la fixer en matière de revenu, en matière de capital ?

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