• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

ChatquiChouine

ChatquiChouine

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 08/10/2010
  • Modérateur depuis le 13/12/2010
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 8 144 111
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 23 22 1
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : nombre de visites











Derniers commentaires




  • 11 votes
    ChatquiChouine ChatquiChouine 14 juin 2013 18:24

    Et Aphatie enrhumé ça donne :

    "snif...Ze me défends d’ êt’e un con sbire à zionniste ! "



  • vote
    ChatquiChouine ChatquiChouine 9 avril 2013 21:39

    "l y a des cadavres dans le placard, raison pour laquelle il est tenu et se tiendra à son rôle de saboteur de la révolution nationale. "

    Ben voyons, puisque vous semblez avoir des informations que d’autres n’ont pas, étalez les sur la table plutôt que de faire des supputations. Encore un procédé peu glorieux digne de la presse poubelle.



  • 4 votes
    ChatquiChouine ChatquiChouine 8 avril 2013 20:09

    "Interrogez-le sur son élection au conseil de Paris et sur les marche-pied utilisés pour y accéder, vous comprendrez peut-être. Ou alors vous êtes in love"

    Famine, pourquoi vouloir interroger Asselineau sur ce sujet, puisque tout est sur son site, je cite :

    "

    1. Quelques semaines avant les élections municipales de mars 2001, M. Pasqua a conclu un accord électoral avec M. Tibéri, maire sortant, pour s’opposer à la fois aux listes RPR-UDF et aux listes PS.Aux termes de cet accord, M. Tibéri se réservait, pour lui-même et ses proches, 14 listes sur les 20 arrondissements parisiens ; et il cédait les 6 listes restantes à M. Pasqua pour que celui-ci les confie à ses propres collaborateurs.C’est ainsi que M. Pasqua a demandé à M. Asselineau d’être son candidat tête de liste dans le XIXe arrondissement de Paris. Pour M. Pasqua, qui avait eu l’occasion de mesurer les capacités intellectuelles de M. Asselineau, il s’agissait de mettre désormais à l’épreuve ses capacités à mener une difficile campagne électorale de terrain et à se confronter au suffrage universel.Quoique n’ayant nullement été demandeur, M. Asselineau a donc accepté de relever ce défi, au nom du RPF dont il était membre. Il a bâti sa propre liste d’arrondissement de 36 candidats et a mené sa campagne en quelques semaines, en toute indépendance et sans concertation avec les équipes de M. Tibéri.Pour en financer les frais (notamment l’impression des affiches, tracts, bulletins de vote, professions de foi et réunion publiques), M. Asselineau a souscrit un emprunt personnel de 380 000 F (environ 60 000 €) auprès de sa banque, emprunt qui fut gagé sur une hypothèque de son appartement.M.  Asselineau, ayant obtenu le très bon score de 11,3% des suffrages au premier tour a été entièrement remboursé des frais engagés, conformément à la législation en vigueur qui prévoit le remboursement des frais de campagne à tous les candidats qui franchissent 5% des suffrages au premier tour.L’ensemble de la comptabilité des frais de campagne, tenue comme il se doit par un mandataire financier, a été ensuite certifiée par un commissaire aux comptes, puis par la Commission des comptes de campagne qui l’a validée sans aucune remarque (ce qui n’est pas toujours le cas).

      Contrairement à ce qui a pu être dit par quelques adversaires politiques, M. Asselineau n’a jamais travaillé avec M. Tibéri à la mairie de Paris et n’a en aucun cas dirigé sa campagne électorale de 2001. Le directeur de campagne de M. Tibéri était M. Bernard Bled, secrétaire général de la Ville de Paris.M. Asselineau, ayant obtenu plus de 10% des suffrages au premier tour de ces élections, a pu se maintenir en triangulaire au second tour contre le candidat RPR-UDF et contre le candidat PS.

      À la surprise générale – et notamment à celle des Renseignements généraux qui avaient prévu que son score s’effondrerait au second tour du fait d’un réflexe de prétendu « vote utile » – M. Asselineau a réalisé une nouvelle percée en recueillant 15,8% des suffrages au second tour de scrutin.Ce score inattendu – et remarquable pour un candidat inconnu dans l’arrondissement , se confrontant à la fois au RPR-UDF et au PS, et dont c’était la toute première campagne électorale – a permis à M. Asselineau d’être élu Conseiller de Paris."

    Alors effectivement, Asselineau n’est pas un lapin de 6 semaines comme vous dites, et c’est plutôt une bonne chose dans ce domaine, mais vous en connaissez beaucoup, vous, des politiciens prêts à gager leur appartement pour financer leur campagne électorale...Les héritiers Lafarge peut-être...arf, c’te blague.



  • 1 vote
    ChatquiChouine ChatquiChouine 28 mars 2013 20:27

    L’Europe des transferts....Nicolas Doze qui découvre l’eau tiède alors que d’autres avaient parfaitement analysé la problématique de l’Euro il y a des années, et notamment François Asselineau dans une interview à Radio Notre Dame il y a 3ans (ici à partir de 14’07).



  • vote
    ChatquiChouine ChatquiChouine 8 janvier 2013 21:07

    Je m’attendais à ce type de réaction drovl, mais il me semble nécessaire d’y apporter quelques commentaires.
     Vous commencez très fort en faisant référence à une "offensive propagandiste" ! Houla ! rien que çà ! demandez autour de vous qui a jamais entendu parler de ce journal hebdomadaire "La voix de la Russie" ou même de son homologue britannique "Russia Today", franchement, soyons sérieux, votre "offensive propagandiste" a tout juste des allures de piqure de moustique.
     Ensuite, vous posez le postulat qu’il est fumeux de faire un parallèle entre l’UE et l’URSS...en êtes vous si sûr ? Il n’est pas ici question de faire un rapprochement entre le quotidien des habitants de l’ex URSS et les européens mais bien de décortiquer leur mode de gouvernance et là, c’est beaucoup plus discutable...mais il faut pour cela analyser les traités, regarder qui sont ceux qui proposent les lois, sont-ils élus (politburo ?), quels sont leurs émoluments et avantages (apparatchiks ?), quelle est leur autorité sur les gouvernement nationaux, comment gerent-ils une monnaie unique dans des économies si différentes, comment imposent-ils une doxa unique à un ensemble de peuples aux histoires et identités si variées, etc...vous risquez avoir quelques surprises.

    "C’est pas en remplaçant une propagande par une autre qu’on va s’informer mieux"...bien sûr, et c’est votre droit de qualifier d’une "autre propagande" ce que je considère être, sur ce sujet précis (BCE) une contre-propagande, nous avons au moins en commun de constater que nos médias diffusent de la propagande.
     Je considère pour ce qui me concerne qu’a défaut, et dans tous les cas, je préfère voir cohabiter 2 propagandes diamétralement opposées plutôt que de n’entendre qu’un son de cloche car, quant il n’y a qu’un son de cloche, il n’y a qu’une cloche.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité