Qaspard Delanuit

@yoananda2

Pas le moins du monde. Je pense que c’est à ceux qui affirment que les chats ont des ailes dans la galaxie d’Andromède de nous expliquer comment ils peuvent le savoir. Même chose pour l’effet bénéfique sur la santé de l’assignation à résidence ("confinement") ou du "couvre-feu". 

@yoananda2

"je n’ai vu aucune (étude) sérieuse qui nie l’effet du confinement"

Je n’ai vu aucune étude sérieuse qui nie que les chats ont des ailes dans la galaxie d’Andromède. 

@yoananda2

"sans déconner !"

Oui, les gens sont méchants, vous savez.  

""LA Liberté" ne peut pas être justifiée pour autre chose qu’elle même. mais la, ce n’est pas de ça qu’on parle."

J’ai bien compris qu’il était question de liberté au sens relatif, et c’est pour cela que je parle d’une réponse "joker ou zen" concernant la liberté au sens spirituel.

C’était pour donner de la hauteur au débat.  

Toujours est-il qu’on peut aussi donner aux petites libertés relatives dont on dispose le but d’atteindre LA liberté spirituelle (qui, elle, n’a pas de but et ne "sert" à rien.).  

@yoananda2

Peut-être que la question posée d’une manière moins personnelle montrerait tout son intérêt philosophique. Car les questions personnelles sont si souvent exploitées à des fins de polémique ou de moquerie sur les forums anonymes que tout le monde s’en méfie. "Tout ce que vous pourrez dire sera retenu contre vous".

Mais la question reste fondamentalement intéressante, voire cruciale : "Que choisissons-nous de faire de la part de liberté réelle ou imaginaire dont nous disposons ?"

Les réponses ne sont pas si nombreuses. Toutes vont se regrouper dans quelques catégories qui sont peu ou prou celles des grandes positions philosophiques sur le sens de l’existence humaine : être heureux, découvrir la vérité, s’accorder avec l’univers, manifester sa véritable nature...

Plus essentiellement, il y a aussi une réponse joker ou zen, qui ne doit pas être considérée comme une manière de botter en touche, et qu’on peut formuler ainsi :

Être libre n’est pas le moyen d’obtenir quelque chose d’autre que la liberté, car c’est à la fois le chemin et le but du chemin, dans l’immédiateté de l’action pure. D’ailleurs la liberté qui peut être employée à quelque chose est-elle vraiment de la liberté ? Ce qui est libre trouve sa propre fin en soi. La liberté est donc aussi elle-même sa propre fin : elle ne peut pas être assujettie à une fin qui lui serait extérieure. Pour le dire encore autrement, la véritable liberté, non seulement n’a pas besoin d’être justifiée par autre chose qu’elle-même, mais elle ne peut l’être. 

@joelim

"En plus je le vois bien avoir envie d’y aller."

Moi je ne crois pas du tout que ça le tente. Il sait très bien que c’est un concours dans lequel la sincérité n’est pas payante. Etre l’homme de l’ombre d’un candidat, peut-être, mais se présenter lui-même, non. Mais j’aimerais être surpris, car je suis d’accord avec vous sur ce point : tout est bon à prendre pour éviter une seconde saison de la série Macron.