iakin

Je vais voir ça... il se trouve qu’en ce moment j’ai d’autres occupations assez importantes et pas beaucoup de temps disponible pour le reste...

Et pourquoi parle-t-on alors de proportionnelle aux législatives pour remplacer le scrutin majoritaire ?
Pourquoi un député n’a aucun pouvoir sur sa circonscription (et heureusement d’ailleurs) ?
 
Ton histoire n’a pas de sens, tu ne peux résoudre un problème politique aussi important en citant 2 phrases de wikipédia.
Je me repète : renseigne-toi. C’est ce que tu as de mieux à faire.

Renseigne-toi, coincoin. Les députés sont des élus nationaux, qui sont mandatés pour voter les lois au nom du peuple français, et non pas élus locaux comme veut nous le faire croire la droite, qui doivent voter au parlement comme leur ordonne le gouvernement.
C’est la règle de base de la séparation des pouvoirs, et tu ne sais même pas ça.

Je suis assez d’accord avec toi, mais méfions-nous tout de même de Hollande et du PS comme si ce n’était que la continuité de la gouvernance UMP/Sarkozy.
Ça ne sera pas la première fois que les socialistes achèveront le travail qu’aura commencer la droite, ou inversement, comme ça s’est passé en Grèce, en Espagne... et même dans l’histoire, lors des crises graves du capitalisme, les partis socialistes dominants n’ont jamais été en retard d’une vacherie, en Allemagne par exemple, où les socialistes ont été les plus durs pour réprimer les manifestations populaires dans les années 20, en Russie après la première mondiale, où encore en France où ils ont voté les pleins pouvoir à Pétain.
 
Le PS s’est abstenu pour laisser la droite voter le MES, et Hollande nous a promis de faire passer le code du travail sous les accords patronaux !
Si les partis à la gauche du PS n’avait pas fait 15%, Hollande aurait couru derrière les voix du FN encore plus vite que Sarkozy.
Il faut se rendre compte que Hollande n’est pas de gauche, dans le sens où on l’entend en France. Il a été des socialistes qui se sont réjouis de l’abandon du programme commun en 1983.

Nous sommes dans une boucle, un bégaiement de l’histoire...
 
Soral cherche à influencer et à intellectualiser un courant politique qui mettra toujours en avant la trouille de l’immigration, des femmes et des étrangers avant les problèmes dus à la finance et qui ne dénoncera jamais la spoliation par l’accumulation de capital.
C’est le petit Otto Strasser de l’époque moderne.
Il sait qu’il n’y a rien à gagner à servir de paillasson à quelqu’un qui le domine, et le fait quand même.
 
Je note au passage qu’il ne dit rien sur l’affrontement idéologique entre Sarkozy et les syndicats, qui est le thème de sa campagne, ses promesses pour un nouveau mandat, et qui va commencer symboliquement le 1er mai.
 
Souhaitons lui d’en finir avec ses propos absurdes sur la "féminisation", "le nationalisme unique défenseur des ouvriers" ou des ses aberrations historiques selon lesquels Cohn-Bendit aurait à lui tout seul fait chuter De Gaulle, ou bien que le PCF était un parti anti-immigrationniste.
Seulement je pense qu’il va au contraire de plus en plus se lepeniser.