En effet, O Scugnizzo, ce n’est pas excessif d’affirmer que les mass
médias sont une véritable industrie du mensonge.
Les rares journalistes récalcitrants sont réduits à pratiquer
la dissimulation ou l’autocensure. Ils savent qu’ils sont sur des sièges
éjectables. Leurs collègues ont été licenciés parce qu’ils n’ont pas suffisamment
répété la propagande officielle.
Mais il y a de l’espoir, à mon avis : internet et les sites
citoyens participatifs, malgré leurs moyens modestes, gagnent du terrain. A l’inverse, les médias de
masse dominants sont discrédités, désaffectés de jour en jour et enregistrent
ces dernières années d’importantes baisses d’audience.
Effectivement
Flamm, sur les dossiers lourds, surtout en temps de guerre, lorsque vous
parcourez l’ensemble des médias de
masse, vous aurez vraiment du mal à trouver la moindre voix discordante, le
moindre débat contradictoire... La diabolisation de l’ennemi à abattre doit être implacable et sans failles.
En peu de mots, vous avez bien résumé la situation actuelle en
Syrie. Ceux qui misaient sur une chute rapide de Bashar Al Assad, commencent à
comprendre que leurs calculs étaient erronés.
La prochaine conférence de Genève consacrée à
la Syrie, prévue en juin, n’a été rendue
possible qu’après les remarquables succès militaires de l’armée régulière
syrienne et l’implacable pressing russe.
Dans cette éventualité, Obama et
plus généralement les Occidentaux pourront, faire marche arrière sans trop de
dégâts. En revanche, la Turquie qui est le pays le plus impliqué dans le
conflit syrien (tout comme Israël et le Qatar), payera, à coup sûr les pots
cassés.
Cela explique
les gesticulations du gouvernement turc qui manifeste tant son hostilité à tout dénouement heureux
du drame syrien.
De leur côté, les citoyens turcs, commencent à perdre
patience. Il ne se passe pas un jour sans qu’il y ait dans une ville turque
une manifestation hostile à l’OTAN et au
gouvernement islamiste turc.
Les médias «
mainstream » font tout leur possible pour
cacher …ou travestir cette réalité, comme avec le présent exemple de France
Télévisions.
Lorsqu’on évoque Imelda, l’épouse de l’ancien dictateur philippin Marcos, on pense naturellement à sa grosse collection de chaussures.
Chez nous, le nom de Sarkozy est associé aux montres de luxe qu’il affectionne tant : des "Rolex", et des "Patek Philippe" en or blanc à 55 000 euros et... on en saura peut-être un peu plus grâce aux déménageurs de l’Elysée... le contrat de location se termine en mai pour le petit résident.