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Laurut christian

Laurut christian

De formation ESSEC, j'ai été chef d'entreprise pendant toute la durée de ma vie active. Parallèlement à la conduite de mes activités professionelles, j'ai commencé progressivement à m' interroger sur les fondements (et le sens) du système économique capitaliste croissanciste dans lesquel nous vivons tous, mais également sur la validité de son mode de gestion politique. C'est ainsi qu'en cessant mes activités professionnelles, je suis, dans le même temps, passé de l'action à la réflexion en publiant des ouvrages de réflexion et de critique d'économie politique, en réalisant des vidéos et en donnant des conférences. Je me qualifierais aujourd'hui de chercheur indépendant (indépendant, j'insiste) en organisation sociétale. Je suis notamment auteur des essais : L’Impasse de la croissance (2021), Vers la démocratie directe (2017), Anthropologie de la décroissance (2014) , Individu, Etat et Liberté (2014), A quoi sert l'Etat ? (2013), Vivement la décroissance (2012), L'imposture écologiste (2011).

Tableau de bord

  • Premier article le 27/01/2014
  • Modérateur depuis le 27/02/2014
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Derniers commentaires




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    Laurut christian Laurut christian 25 février 2018 16:13

    @medialter
    Voyez ma réponse à "ken_le_sous-vivant". Par ailleurs, la video ne parle pas de "grand crash", mais de déclin progressif et irrémédiable. Cela n’a rien à voir....



  • 1 vote
    Laurut christian Laurut christian 25 février 2018 16:09

    @ken_le_sous-vivant

    Aller chercher des ressources énergétiques sur une autre planète n’est pas un problème de technologie mais un problème de bilan énergétique. En restant simplement sur terre, nous sommes déjà confronté à cette problématique qui consiste à dépenser plus une quantité plus grande d’énergie pour aller chercher une quantité donnée d’énergie. Autrement dit, si j’utilise 1 Kwh pour obtenir 0,5 Kwh, cela ne marche pas (sauf si je camoufle ce solde avec des subventions étatiques, mais cela a une fin). Donc, Vous pouvez toujours rêver que 1°. nous aurons suffisamment d’énergie disponible pour nous propulser sur Titan. 2° que le voyage sera rentable en terme de bilan énergétique. Personne ne peut vous empêcher de rêver, mais le paradoxe, c’est que c’est nous, les annonciateurs de la décroissance inéluctable, qu’on traite de rêveurs !....



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    Laurut christian Laurut christian 7 février 2018 12:15

    @jimontheair

    Vous dites : "Je ne vais pas perdre plus de temps à discuter les détails un à un ....". Libre à vous de ne pas poursuivre cet échange. De toutes façons, les questions que vous soulevez ne sont que difficelement du ressort d’un fil de discussion de type AV, mais plutôt d’un débat en vis à vis. C’est pourquoi, je vous propose d’en discuter de vive voix lors du guichet permanent ouvert chaque mercredi à 20h sur https://zoom.us/j/7940472457

    Sur le fond, vous ne répondez pas à ma question concernant l’énoncé des "pouvoirs" de la commission susceptibles d’entraver le fonctionnement démocratique du processus d’élaboration de la loi en agora. Appliquant votre technique habituelle, vous ne faites que citer l’intégralité des articles relatifs aux attributions de la commission en espérant que les lecteurs en tireront eux-mêmes les conclusions que vous souhaitez. Or, vous obtenez probablement le résultat inverse, puisque cette énumération montre parfaitement que cette commission n’est investie que de "fonctions" et pas de "pouvoirs", en tout cas pas de pouvoirs permettant d’entraver le processus législatif. Quant au quota de 50%, qui gêne votre "raisonnement" vous pronostiquez son futur "abaissement", vous êtes donc bien dans l’optique du coup d’état dont je parlais lors de mon précédent post. La réalité est que si le quota est rarement atteint, cela signifiera tout simplement que peu de lois seront votées, ce qui évidemment est contraire à l’optique oligocratique qui a produit 140.000 règles coercitives en quelques dizaines d’années.



  • 2 votes
    Laurut christian Laurut christian 7 février 2018 10:35

    @jimontheair

    Vos commentaires sont symptomatiques d’une posture discursive très répandue qui consiste à ne pas prendre en compte les propos ou les écrits précis de l’interlocuteur, mais les choses qu’on voudrait lui faire dire afin de conforter sa propre conviction. Je m’explique. Vous dites : "si vous êtes bonne foi, et pratiquez par exemple une rapide analyse nodale de votre système, vous verrez apparaitre cette Commission Centrale comme étant très centrale en effet, et ayant des pouvoirs très variés et très importants jusqu’au niveau local". Je vous ai déjà répondu à cela qu’il n’y a RIEN dans la Constitution Nouvelle en démocratie directe qui donne ce que vous appelez des "pouvoirs très variés" à la Commission Centrale Législative. A partir de là deux possibilités : soit vous pratiquez la répétition autocratique (technique connue), soit vous considérez que ce qui est écrit ne sera pas respecté et vous vous situez dans la perspective du coup d’état permanent. Afin de lever ces soupçons dont je reste persuadé qu’ils procèdent d’un malentendu, je vous remercie de m’indiquer quels "pouvoirs importants" détient la CCL qui seraient de nature à compromettre un processus législatif réellement démocratique. Suite à quoi, je pourrais vous répondre de façon précise et circonstanciée.

    Pour ce qui concerne le deuxième volet de vos critiques : le supposé "commissionage occulte" des citoyens en agoras par des "officines" politiques, vous feignez d’ignorer un élément de réponse que je vous ai déjà fourni : celui du quota nécessaire de 50% de participation pour valider tout vote en agora. Ce qui reviendrait, pour les "officines" dont vous parlez à devoir "acheter" au moins 25 millions de citoyens pour parvenir à leurs fins. C’est tout simplement impossible, d’autant que ces officines, ou lobbies divers, non sont pas rompus à la pratique du noyautage de réseau, mais plutôt à celle, plus facile de corruption des quelques centaines de décideurs oligocratiques. Par ailleurs, en poussant le raisonnement à l’extrême, je dirais que si un groupe de pression parvenait à convaincre plus de 25 millions de citoyens de se déplacer pour approuver un projet de loi donné, ce groupement acquerrait de fait la légitimité de son projet.



  • 2 votes
    Laurut christian Laurut christian 30 janvier 2018 13:54

    @jimontheair

    Apparemment vos lectures et relectures vous font voir ce que vous avez envie d’y voir et non ce qui est écrit en réalité.

    1. Sur la sur-représentation putatives des minorités dans les agoras : Vous omettez le critère fondamental du quota de participation minimal de 50% pour valider tout vote en agora. Cette disposition élimine de façon déterminante les risques de sur-représentation. Par contre, il reste l’application du principe suivant : une loi est faite par tous ceux qui s’y intéressent et se sentent concernés, sous réserve d’une trop grande proportion de ceux qui ne s’y intéressent pas et ne se sentent pas concernés. Si ce principe vous gêne, nous connaissons alors très précisément ce qui nous sépare.

    2 et 3. Sur la supposée puissance de la Commission : cette objection est récurrente chez nos amis contradicteurs. Mais c’est une objection empreinte d’une certaine mauvaise foi, dans la mesure où il est clairement écrit que la Commission n’a strictement aucun pouvoir, ni au niveau de l’initiative des lois, ni au niveau du débat contradictoire, et encore moins au niveau de la votation. Cette affirmation est totalement gratuite et ne repose sur aucun article de la Constitution Nouvelle. Quant à la comparer à un "Politburo", c’est une affabulation qui rejoint, par l’autre extrême, celle d’une autre catégorie de nos détracteurs qui nous traitent de "libertariens". Cette outrance n’est pas moins qu’une variante du point Godwin, qui, lui par contre, fait froid dans le dos pour des raisons bien réelles.

    Enfin, et sur le thème du pouvoir (imaginaire, mais pratique pour des contradicteurs de mauvaise foi) de la commission centrale législative, il n’est écrit nulle part que le pouvoir de la CCL puisse être, par exemple, de « retoquer » certains projets de loi (si c’est à ce type de pouvoir auquel vous pensez), mais seulement de les déclarer non-compatibles avec la constitution. Cela étant, on pourrait effectivement imaginer que la CCL déclare un projet de modification de la loi ordinaire « non-conforme à la constitution » alors qu’il l’est en réalité. Dans cette hypothèse le projet de loi serait requalifié en projet modificatif de la constitution et nécessiterait, peut être, d’être re-écrit par son auteur. De plus ce projet devra recueillir 10 fois plus de signatures pour être éligible. On pourrait donc imaginer que la CCL puisse ralentir, ou faire obstruction bureaucratique, une sorte de grève du zèle, pour saboter certains projets. Ce risque n’est pas impossible, mais les ripostes sont nombreuses :

    - Le conseil constitutionnel qui chapeaute la CCL peut être saisi et la désavouer

    - Les auteurs des projets injustement requalifiés peuvent venir s’exprimer dans les séances de type 1 et alerter les citoyens

    - Les auteurs des projets injustement requalifiés peuvent venir s’exprimer dans les médias du Service public de l’information politique (art. 38) et alerter les citoyens

    - Les agoras peuvent alors révoquer les mandataires de la CCL

    Bref, et pour toutes ces raisons, il apparaît que les mandataires de la CCL ne sont pas en position de force et ne semblent pas avoir intérêt à jouer à ce petit jeu de la mauvaise foi. N’oubliez pas que nous ne sommes plus en oligocratie. Il a nécessité urgente de changer de lunettes pour analyser la vie politique. Au pire, le projet considéré sera plus difficile à être rendu éligible, mais, en fin de compte, il pourra tout de même l’être s’il obtient 1 pour cent de signatures.

     

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