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Jean Keim

Jean Keim

Je dis ce que je sais, je sais ce que je crois, je crois ce que je dis. 
Je sais donc je pense ainsi la pensée est un processus. 
Chaque être humain est un croyant, c’est inévitable, c’est inhérent au savoir. 
Il ne faut pas croire tout ce que nos pensées nous suggèrent.

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  • Premier article le 01/12/2015
  • Modérateur depuis le 11/01/2017
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Derniers commentaires




  • Jean Keim Jean Keim 8 mars 18:24

    @yoananda2

    Ce que vous avez retenu des grecs serait-ce la sophistique ?

    La pensée n’accède à rien dites-vous, mais vous en avez, comme tout un chacun, plein vos mémoires, alors pourquoi n’en prenez-vous pas la mesure ?

    Les philosophes Grecs avaient déjà remarqué que la pensée était ultra limitée dites vous, alors pourquoi lui accordez tant d’importance ? Et pourquoi accorder également tant d’importance à la pensée grec ?



  • Jean Keim Jean Keim 8 mars 17:42

    @yoananda2

    << ‘’je me répète la pensée ne peut pas accéder à l’inconnu...’’

    La, je ne suis pas d’accord en revanche. Elle accède sans arrêt à l’inconnu. Par contre, si vous vouliez dire l’ineffable, ou l’absolu, alors la, oui, je serais d’accord. >>

    Donc on buterait sur une question de vocabulaire, mais pas uniquement, on bute également sur de la logique ; la pensée ne peut se manifester que dans du connu et quand elle aborde un nouveau savoir elle le reconnaît comme du nouveau connu (connu par d’autres personnes) mais pas encore acquis par elle ; p. ex. quand dans un texte vous rencontrez un mot nouveau, vous n’êtes pas confronté à l’inconnu – vous avez des repères – mais à du connu ignoré pas encore dans vos savoirs. De même quand des explorateurs on découvert l’Amérique, ils n’avaient pas de cartes, mais ils étaient dans un environnement interprétable, ils ont pu par la suite le décrire.

    Quand on parle de l’inconnu, il n’y a pas de repère, pas de balise, et si qq’un en revient, il ne peut le traduire qu’en faisant appel à des termes connus exprimés par sa pensée.

    Mais peut-être qu’à la place de inconnu ; ineffable, inconnaissable, indicible, inexprimable... seraient plus judicieux, je me méfie de absolu, il est chargé de sens.



  • Jean Keim Jean Keim 8 mars 16:21

    @Gaspard Delanuit

    En effet alors peut-être dire : l’inconnaissable, l’indicible, l’inexprimable, l’inaccessible à la pensée ou ..., tout ce que la pensée ne peut pas appréhender, malgré internet ainsi que l’imagination.

    Néanmoins, la pensée ne peut pas nous plus accéder de par ses propres ressources internes à une chose qu’elle ne connaît pas, si nous ne connaissons pas le sens d’un mot nous ne pouvons pas le définir, alors que cette même pensée est capable de parler de Dieu et de la vie après la mort et animer des conférences.

    La pensée est réellement extraordinaire dans ses extrêmes.



  • Jean Keim Jean Keim 8 mars 15:23

    Suite d’une réponse à l’attention de yoananda2.



  • Jean Keim Jean Keim 8 mars 15:19

    Éveil : relisez mes commentaires, ils tentent simplement de montrer les limites de la pensée, je me répète la pensée ne peut pas accéder à l’inconnu...

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