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Jean Keim

Jean Keim

Je dis ce que je sais, je sais ce que je crois, je crois ce que je dis. 
Je sais donc je pense ainsi la pensée est un processus. 
Chaque être humain est un croyant, c’est inévitable, c’est inhérent au savoir. 
Il ne faut pas croire tout ce que nos pensées nous suggèrent.

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  • Premier article le 01/12/2015
  • Modérateur depuis le 11/01/2017
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Derniers commentaires




  • Jean Keim Jean Keim 8 mars 15:14

    @yoananda2

    2500 ans de philo et de science : vu l’état du monde alors oui il y a du ménage à faire.

    Âme : mon commentaire concernait Gaspard Delanuit et son propre commentaire sur Spinoza, seulement les com parfois se mélangent et tout devient décousu.

    Concept : non ! dans le domaine du concret la plupart des mots sont des vocables bien définis, dans les domaines de l’abstraction c’est une autre histoire, cela touche aussi de plus en plus la science qui présente ses concepts comme des vérités.

    Quand à la m...e : nettoyer vos propos.



  • Jean Keim Jean Keim 8 mars 13:27

    @yoananda2

    Donc concernant la ‘’spiritualité’’ il faut se tenir au courant de la mode, j’avais jamais envisagé la chose sous cet angle mais effectivement il y a des modes.

    Au sujet de l’âme, elle est avant tout un concept, elle est ce que l’on veut qu’elle soit.



  • Jean Keim Jean Keim 8 mars 12:00

    @Gollum & Tchak Tchak & ...

    Nul besoin d’être un éveillé pour avoir l’aperception de la nature de la pensée et son intrication dans nos existences.



  • Jean Keim Jean Keim 8 mars 10:04

    Si une passion naît d’une idée même confuse, alors le développement d’une idée passe par la pensée et plus précisément par la noèse c’est-à-dire la pensée portée sur un objet.

    Quand à l’âme, c’est comme l’esprit, il y a une foultitude de définitions, celle que j’ai retenue comme passable est que l’âme serait ce qui anime la matière vivante par opposition à la matière inerte, toutefois cette opposition peut être polémique.

    Dans les différentes définitions de l’âme, tantôt elle est immortelle, tantôt elle disparaît avec la désagrégation du corps.

    Dans les domaines concrets on a besoin de se mettre d’accord sur un vocabulaire commun, dans les domaines abstraits je crois qu’il faut passer outre.



  • Jean Keim Jean Keim 8 mars 08:33

    Au sujet des êtres inspirés qui semblent, dans divers domaines, avoir un talent inné ‘’apparemment’’ sans connaissances particulières, un chercheur anglais Rupert Sheldrake, a développé un concept la ‘’résonance morphique’’, qq. chose comme une sorte de conscience / mémoire collective, propre à chaque espèce dont la nôtre naturellement, p. ex. et pour faire court, il a montré que des rats placés devant un problème à résoudre, expérience après expérience réalisées en des endroits très éloignés les uns des autres, trouvaient la solution de plus en plus rapidement.

    Nous serions tous en accord avec ces champs morphiques, et ainsi nous acquérons plus ou moins rapidement des connaissances particulières, certains individus le font à un degré élevé. Les enfants se sont mis plus rapidement à l’informatique que leurs aînés.

    Mozart est l’archétype du génie, mais il ne faut pas pour autant se lancer dans des spéculations oiseuses, Mozart est né dans une famille de musiciens, a étudié la musique, et sa géniale production est quand même un arrangement de notes. Le domaine du génie est l’ingéniosité et pas forcément l’intelligence.

    Sans vouloir en remettre une couche, si le concept de sheldrake a une réalité, cela signifierait simplement que rien (de connu) ne se perd, dans certaines traditions il y a également les annales (mémoires) akashiques, est-ce la même chose ? Mais des hommes ne font pas des anges, dans une mémoire quelle qu’elle soit on stocke des savoirs, le connu alimente le connu, l’irruption de l’inconnu est irrémédiablement traduit en connu pour être transmis.

    Dans les champs morphiques et/ou dans les annales akashiques on pourrait possiblement trouver les millions de définitions écrites sur Dieu, mais nous ne trouverons jamais Dieu. L’inconnu n’y a pas sa place.

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