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Jean Keim

Jean Keim

Je dis ce que je sais, je sais ce que je crois, je crois ce que je dis. 
Je sais donc je pense ainsi la pensée est un processus. 
Chaque être humain est un croyant, c’est inévitable, c’est inhérent au savoir. 
Il ne faut pas croire tout ce que nos pensées nous suggèrent.
 
Nous naissons à la vie pour renaître et mourons pour mourir à nouveau.

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  • Premier article le 01/12/2015
  • Modérateur depuis le 11/01/2017
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Derniers commentaires




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    Jean Keim Jean Keim 31 octobre 2016 14:10

    @medialter
    Il faut également un "s" à "viol" et à "attouchement", dans le cas contraire on écrira "d’un viol" ou "d’un attouchement", néanmoins un faute d’orthographe n’est en soi qu’une faute mineure si elle ne change pas le sens de la phrase.



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    Jean Keim Jean Keim 27 octobre 2016 17:09

    @Qaspard Delanuit

    J’ai lu des livres relatant les causeries et les dialogues de K mais je n’ai pas le souvenir qu’il ait parlé de l’expérience en ces termes. 

    Le point de départ de ma réflexion est le fait que l’on ne conjugue jamais le verbe expérimenter au présent ; on dit toujours "j’ai fait l’expérience de" mais jamais dans le feu de l’action on ne dit "j’expérimente ...", sinon en parlant d’une action répétitive qui est toujours recommencée.

    Il est observable que dans l’action il n’y a pas de pensée, sinon il y a la pensée et ainsi on n’est plus dans l’action, c’est l’un ou l’autre mais pas les deux simultanément, c’est assez "quantique" comme constat, on passe rapidement et alternativement de l’un à l’autre.



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    Jean Keim Jean Keim 27 octobre 2016 14:16

    Il ne faut pas confondre un évènement qu’il soit anodin, trivial, singulier ou extraordinaire, transcendant et j’en passe et des meilleures, et la mémorisation de l’événement avec sa restitution par la pensée, ce qui s’appelle une expérience ; l’événement et l’expérience ne sont pas la même chose.

    Dans le déroulement effectif de l’événement et dans son souvenir avec éventuellement sa narration, le temps n’est pas le même ... et l’expérience – comme toute pensée – appartient au passé.


  • 1 vote
    Jean Keim Jean Keim 24 octobre 2016 15:45

    Stop aux inepties !

    Ni smic, ni salaires et horaires libres au gré de l’employeur, ni l’un ni l’autre mais une autre voie.

    Il y a du travail, il est ce qu’il est et il produit des richesses, alors la seule solution sensée, rationnelle est de partager et le travail et la richesse qu’il produit, et que l’on ne vienne pas me rabattre les oreilles qu’il y a des hommes faits pour être entrepreneurs er d’autres pour être salariés, sans les infrastructures qui sont le résultat direct ou indirect du travail de tous, l’entrepreneur le plus talentueux du marché ne pourra pas monter se boîte. Alors chacun fait ce pour quoi il est doué et chacun touche sa quotepart, personnellement je suis convaincu qu’à temps de travail égal, salaire égal, le temps de travail c’est du temps de vie donné, une heure de la vie d’un architecte, d’un chirurgien, d’un gardien de la paix, d’un instituteur ou d’un maçon ont exactement la même valeur, les hommes de loi tentent de prouver le contraire ; savez-vous que dans un accident, les réparations financières sont différentes suivant un certains nombre de critères comme l’origine sociale, les perspectives d’avenir qu’avait la victime, etc. ? 

    Suivant que vous soyez puissant ou misérable ...

    Le partage du travail et des richesses ferait que plus de gens consommeraient – cela c’est l’argument massue pour l’économiste, les gens se partageant le travail travailleraient moins d’heures et moins longtemps et donc consacrerait plus de temps à leur esprit – cela c’est pour la culture, la spiritualité et la santé, bon c’est pas bon pour big pharma qui devra se reconvertir dans les tisanes, et si le travail est organisé pour produire utile dans le respect de l’environnement et de la vie – même les écolos seront satisfaits, ce que la société n’est pas encore arrivée à faire. 


  • 1 vote
    Jean Keim Jean Keim 22 octobre 2016 17:57

    Deux sabres, deux humanités dans une variation infinie.

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