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Arnaulde Schwarzandgueguerre

Arnaulde Schwarzandgueguerre

Bonjouir le France, aah ja souis oine movie star tu knows and I will guaïde you to le loumière de la truth, aoh, excuse mon fronçais le France, but, j'appronds tu les jouirs votre langage pour vos aminer suor les way of the success, clear ?
Ji vos iaime, au rivoar le France....

Tableau de bord

  • Premier article le 14/11/2014
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Derniers commentaires




  • 1 vote
    Arnaulde Schwarzandgueguerre L’Equatorien 21 mai 2014 16:04

    La nature nous a affranchi en partie du contrôle qu’elle exerce sur ses créatures.

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    Au risque de se voir détruire par ces mêmes créatures ? Elle aime jouer avec le feu mère nature smiley Disons qu’elle est audacieuse de miser son évolution, voire son exportation cosmique en d’autres terres fertiles, sur une espèce aussi dissipée et facilement corruptible comme la nôtre.
    ^
    La république extérieure (la société) ne peut être que le reflet de notre république intérieure (notre psyché).
    ^
    Joli point de vue, comme il y a des mondes intérieurs divers et variés, aux intérêts divergents ou convergents, donc les centres d’intérêts individuels, se reflètent sur ce que l’on peut observer du point de vue sociologique avec tous les conflits provenants de ces multiples psychés qui se rencontrent ou se téléscopent, au gré des évênements en mouvements constants ou au détour des séquelles historiques en inertie depuis l’antiquité jusqu’à aujourd’hui puis demain et ainsi de suite, jusqu’à un bouleversement majeur qui va redistribuer les cartes des rapports de force en ce qui concerne les décideurs de nos misérables existences quasi devenues insignifiantes ?
    ^
    Donc si je résume, à partir d’un individu, politique par nature, si cet individu est suffisamment diplomate dans son dialogue interne pour ne pas être en conflit grave avec tous les points de vue optionnels qui s’offrent à lui, se mélangent dans sa tête et agira en conséquence sur ses humeurs, ou ses intentions, il sera quelqu’un qui n’aura pas forcément besoin de conflit avec autrui pour se sentir exister, il sera donc, presque libre d’être libre.
    Un peu tirée par les cheveux ma formule, mais ceci serait un exemple dans le cas d’un individu qui ne cherche pas le pouvoir ou se contente d’être en paix avec lui même.
    ^
    Si cet individu nait par exemple dans un milieu favorable à une carrière politique, avec comme logiciel non plus son seul bien être mais avec la prétention d’agir pour un grand nombre de personnes, qui au départ ne lui ont rien demandé, il devra pour satisfaire son besoin d’humanisme viscéral, accéder à un poste important dans un système qu’il n’a pas choisi, comme nous tous, pour se faire, il devra devenir le système en quelque sorte, sans se trahir trop ou se renier, jouer avec les règles d’un jeu aux dés pipés, comme ce que nous pouvons observer aujourd’hui, et par conséquent, aussi nobles que ses intentions étaient au départ, il y a grand risque qu’à l’arrivée, au moment de s’asseoir sur le siège du poste convoité, cet individu a du tellement faire de concessions qu’il s’est perdu entre son ambition de départ et usé par les combats retors qu’il a du mener pour accéder au trône, de fer, de velour, en bois, peu importe. Mais, comme il ne joue pas à un jeu solitaire, il est tenu par les autres joueurs quelques soient ses idées personnelles ou celles de son parti au sein duquel les divisions sont déjà nombreuses alors ne parlons pas des divergences et des conflits d’intérêts avec les autres camps de la partie.
    ^
    On pourrait imaginer un Manuel Valls au grand coeur, jeune, plein d’idéaux pacifiques et sociaux, palestinien de coeur, pour en arriver à l’espèce de Palpatine en devenir ou plus exactement un Darth Vador, homme de main plutôt qu’empereur, avec le visage qu’il exhibe depuis son revirement récent aux alentours de 2010 (l’année du premier contact). Pourrait on dire que métaphoriquement il était un jeune padawan aspirant jedi et que à force de cotoyer le jeu actuel politique, il aie basculé du côté obscur de la force ?
    ^
    Suffirait il alors, comme vous le dites, que quand les enfants seront des hommes, les hommes n’auront enfin plus besoin de maîtres ? Est ce pour cela que la volonté des maîtres est de maintenir les gens dans la bêtise, l’ignorance, l’obscurantisme, quitte à les occuper et les diviser par tous les moyens possible afin qu’ils restent des prototypes d’humains, jamais achevés pour assurer une domination millénaire à une caste particulière ?  



  • 3 votes
    Arnaulde Schwarzandgueguerre L’Equatorien 21 mai 2014 14:58

    L’humain ne peut il donc pas se passer de politique ? N’est il pas suffisamment responsable pour s’auto discipliner et prendre en main son existence en respectant celle des autres ? Est il vraiment destiné à vivre en hiérarchie ? Surtout cette hiérarchie ? N’ y a t’il pas suffisamment de sagesse en chacun de nous pour se laisser infantiliser par une poignée de mafieux, loups déguisés en moutons pour nous gouverner tous ?
    ^
    Alors nous méritons d’avoir de la pourriture en dessus de nous puisqu’au fond, la base ne vaut pas mieux que l’élite.
    ^
    Des coups de fouet, nous ne comprenons que cela avec du pain et des jeux. Nous sommes trop heureux d’avoir des yeux pour pleurer, trop peureux pour lever la tête, trop peu nombreux à vouloir être vraiment libres. A tel point que nous sommes condamnés à être esclaves à cause d’une majorité de veaux. Comme disait Einstein, le plus grand des génies ne pourra s’élever au dessus d’une masse de connerie, tellement la connerie se complaît dans sa médiocrité qu’elle passera son temps à rabaisser ceux qu’elle admire. (A quelques mots près.)



  • 7 votes
    Arnaulde Schwarzandgueguerre L’Equatorien 20 mai 2014 11:26

    A la manière d’un lazard, lève le coude Borloo et bois ! Ils ressortent les momies pour défendre l’europe des multinationales, l’europe par et pour les riches, l’europe des ultra libéraux, l’europe du pognon au détriment de l’europe du prolo, elle est belle l’europe à Borloo mais Balou il est pas content. Enclair : n’envoyez pas au parlement des gens qui n’aiment pas les riches. A revoir le dialogue de Mort d’un pourri avec le pédo Klaus Kinski et le boutiniste-fn Alain Delon, ce film date de 1977 le dialogue déjà hautement et plus que jamais d’actualité commence à 3 minutes 54 de la vidéo suivante :
    L’internationale du prolo, l’internationale du pognon :
    http://www.dailymotion.com/video/x7piab_mort-d-un-pourri-6_people

    Le capital ne connait plus de frontière



  • 15 votes
    Arnaulde Schwarzandgueguerre L’Equatorien 19 mai 2014 13:13

    Jolie musique et ensemble de cuivres, dommage que deux badauds ahuris aient décidé de tchatcher inopportunément et distraitement en plein dans le champ de la caméra, leur gazouilli inaudible parasitant le morceau que le malheureux caméraman tentait d’immortaliser pour la postérité et la culture musicale des internautes. Il a du être déçu au visionnage de ses images avec les deux blaireaux maladroits en gros plan.



  • 7 votes
    Arnaulde Schwarzandgueguerre L’Equatorien 15 mai 2014 14:21
    Apocalypse 9

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    9.1  Le cinquième ministre sonna de la trompette. Et je vis une bougnoule marocaine qui était tombée du ciel sur la terre. La clef du puits de l’abîme lui fut donnée,

    -

    9.2  et elle ouvrit le puits de l’abîme LGBT. Et il monta du puits une fumée, comme la fumée d’une grande fournaise ; et le soleil et l’air furent obscurcis par la fumée du puits.

    -

    9.3  De la fumée sortirent des Femen, qui se répandirent sur la terre ; et il leur fut donné un pouvoir comme le pouvoir qu’ont les sionistes de la terre.

    -

    9.4  Il leur fut dit de ne point faire de mal à l’herbe de la terre, ni à aucune verdure, ni à aucun arbre, mais seulement aux hommes qui n’avaient pas le sceau de Satan sur le front et ça en fait un paquet de monde.

    -

    9.5  Il leur fut donné, non de les tuer, mais de les tourmenter pendant cinq ans ; et le tourment qu’elles causaient était comme le tourment que cause les sionistes, quand ils spolient un gentil goy.

    -

    9.6  En ces jours-là, les hommes chercheront la mort, et ils ne la trouveront pas ; ils désireront mourir, et la mort fuira loin d’eux car on aura interdit l’euthanasie pourtant acclamée des voeux du grand Rabbin Attali.

    -

    9.7  Ces Femen ressemblaient à des amazones préparées pour le combat final ; il y avait sur leurs têtes comme des couronnes de fleurs, et leurs visages étaient comme des visages d’hommes haineux.

    -

    9.8 Elles avaient des cheveux comme des cheveux de femmes, et leurs dents étaient comme des dents de vipères.

    -

    9.9  Elles avaient des cuirasses comme des cuirasses de peau, et le bruit de leurs ailes était comme un bruit de chars à plusieurs chevaux qui courent au combat.

    -

    9.10 Elles avaient des queues semblables à des hommes et des ongles en forme d’aiguillons, et c’est dans leurs queues qu’était le pouvoir de faire du mal aux hommes pendant cinq ans.

    -

    9.11 Elles avaient sur elles comme roi l’ange de l’abîme, nommé en hébreu Vincent Peillon, et en grec Veincent Peillon le gros couillon.

    -

    9.12 Le premier malheur est passé. Voici il vient encore deux malheurs après cela.

    -

    9.13 Le sixième ministre sonna de la trompette. Et j’entendis une voix venant des quatre cornes de l’autel du veau d’or qui est devant Dieu,

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    9.14 et disant au sixième ministre qui avait la trompette : Délie les quatre sayanims qui sont liés sur le grand fleuve du Rhône.

    -

    9.15 Et les quatre sysanims qui étaient prêts pour l’heure, le jour, le mois et l’année, furent déliés afin qu’ils tuassent le tiers des hommes par la malbouffe et le médiator.

    -

    9.16 Le nombre des collabos de l’armée était de deux myriades de myriades : j’en entendis le nombre.

    -

    9.17 Et ainsi je vis les chars dans la vision, et ceux qui les montaient, ayant des cuirasses couleur de peau, d’hyacinthe, et de soufre. Les têtes des chevaux étaient comme des têtes de lions ; et de leurs bouches il sortait du feu, de la fumée, et du soufre.

    -

    9.18 Le tiers des hommes fut tué par ces trois fléaux, par le crif, par la licra, et par le lobby LGBT, qui sortaient de leurs bouches et de leurs oreilles.

    -

    9.19 Car le pouvoir des sionistes était dans leurs bouches et dans leurs queues ; leurs queues étaient semblables à des serpents ayant des têtes, et c’est avec elles qu’ils faisaient du mal.

    -

    9.20 Les autres hommes qui ne furent pas tués par ces fléaux sionistes ne se repentirent pas des oeuvres de leurs mains, de manière à ne point adorer les démons, et les idoles d’or, d’argent, d’airain, de pierre et de bois, qui ne peuvent ni voir, ni entendre, ni marcher ;

    -

    9.21 et ils ne se repentirent pas de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité ni de leurs vols.

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