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ELAA

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  • Premier article le 06/12/2017
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    ELAA 6 février 2018 14:12

    @Belenos

    Bonjour, vos réflexions sont sensées... parce que vous raisonnez avec votre conscience et votre bon sens. Ce n’est pas le cas de l’industrie pharmaceutique.

    Il faut bien comprendre que les entreprises de l’industrie pharmaceutique ne sont pas concurrentes. Elles travaillent main dans la main (par exemple, GSK a sorti le Cervarix et Merck le Gardasil, mais GSK possède aussi des "droits d’auteurs" sur le Gardasil et vice versa.) Elles sont également liées aux autres industries, toutes actionnaires les unes des autres (vous comprenez mieux pourquoi tous les médias leur sont acquis).

    Pour l’aluminium, toutes les entreprises ont fait ce choix, elles sont dans le même bateau, pour la simple raison que l’aluminium est l’élément le plus rentable : il n’est pas cher, très répandu sur terre, utilisé dans toutes les industries (agro-alimentaire, cosmétique, industries lourdes...) et surtout très efficace (= très pro-inflammatoire) dans les vaccins.

    C’est un scandale aux implications absolument énorme, donc il est improbable qu’il éclate. L’industrie pharmaceutique est la plus rentable des industries, bien plus que le pétrole, et en grande partie grâce aux vaccins (qui ne sont pas génériquables, contrairement aux autres médicaments).

    Du coup, une entreprise ne peut pas dire, seule "j’arrête l’aluminium", c’est impossible. Qui plus est, la nocivité de l’aluminium n’est toujours pas reconnue, donc rien ne presse. 

    De plus, changer l’aluminium coûterait en effet cher : il faudrait à nouveau procéder à des tests cliniques qui, pour la première fois, s’effectueraient sans placebo adjuvés à l’aluminium : on découvrirait alors que les effets secondaires sont bien moindres, et qu’ils sont de facto dus à l’aluminium, et non aux antigènes du vaccin. Le pot aux roses seraient enfin dévoilés... et l’implication des agences sanitaires aussi, parfaitement complices de la situation, en toute connaissance de cause (conférence de Simpsonwood, aux USA en 2000...)

    Il est absolument inévitable de remplacer l’aluminium des vaccins, et les labos s’y préparent, mais en attendant, il s’agit d’accélérer le processus (par les diverses obligations imposées à de nombreuses populations). Ils ne doivent pas perdre d’argent. Les bénéfices qu’ils feront ces prochaines années paieront pour les essais cliniques et les changements industriels absolument inévitables (mais quand ???) d’autant que la nouvelle génération d’adjuvants nanométriques arrivent.



  • 5 votes
    ELAA 8 décembre 2017 10:04

    @sls0
    Bonjour. 

    C’est un fait : la variole n’a pas été éradiquée par la vaccination. Vous pouvez lire le rapport final de la Commission mondiale pour la Certification de l’Eradication de la Variole (1979), qui est en ligne. Vous trouverez p.32 : « Les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas (…)"

    Le changement de stratégie a donc consisté à endiguer la maladie par mise en quarantaine :

    p. 47 : "La campagne menée en Inde révéla les limites d’une stratégie axée uniquement sur la vaccination de masse dans un pays aussi vaste et densément peuplée que l’Inde, même lorsque la couverture de vaccination atteignait 90%, objectif pourtant difficile à atteindre. En revanche, lorsque des programmes de surveillance active et d’endiguement efficace entrèrent pleinement en action, l’Inde fut en mesure de réaliser l’éradication dans un délai relativement bref."

    le journal Le Monde du 21/12/1977 publiera un article de F.J. TOMICHE, chef des services de presse et de publications de l’OMS : « Sur le plan stratégique, l’abandon de la vaccination de masse en faveur de l’approche dite « de surveillance-endiguement » revêtit une importance capitale. Avec ce type d’approche on parvenait à faire complètement échec à la transmission, même lorsque l’incidence variolique était élevée et les taux d’immunisation faibles. La méthode consiste en la prompte détection de nouveaux cas, suivie de mesures d’endiguement immédiates, c’est-à-dire la recherche de tous les contacts possibles et leur isolement afin d’arrêter la transmission. »

    Depuis, dans les universités ainsi que dans les media, partout on occulte systématiquement le rôle de l’endiguement au profit de la vaccination dans l’éradication de la variole, qui pourtant a joué, selon le rapport, un rôle limité.



  • 7 votes
    ELAA 7 décembre 2017 14:00

    En France, les derniers chiffres officiels concernant l’autisme, remontent à 2005 et parlent de 1 enfant sur 150...

    Mais le CDC américain tient au contraire un relevé très précis : Le groupe de chercheurs, qui analyse ces données annuelles depuis 2002, note que le taux de prévalence a augmenté de 78 % entre 2002 et 2008. En mars 2012, le taux de prévalence s’établissait à 1 enfant sur 88 (CDC, 2012). En mai 2013, les mêmes chercheurs rapportent que le taux s’élève maintenant à 1 enfant sur 50. On a même peur de continuer à compter, donc difficile de trouver les chiffres de ces dernières années.

    Et là, ce ne sont que les chiffres (obsolètes) de l’autisme, on ne parle même pas des troubles moteurs, maladies chroniques, multiples allergies, syndromes de fatigue chronique (la Myofasciite à Macrophage est un syndrome de fatigue chronique, tout comme le Syndrome de la Guerre du Golfe = mêmes symptômes. Donc des millions de personnes dans le monde sont concernées.)

    Nos enfants n’ont jamais été en aussi mauvaise santé : c’est très probablement multifactoriel, mais il est tout aussi certain que l’aluminium (vaccinal et alimentaire pour le cas du nourrisson) entre dans l’équation.

    La recherche sur l’autisme a fait d’énormes découvertes ces dernières années, mais personne n’en parle. On sait désormais que ce n’est pas génétique, mais qu’il y a des susceptibilités génétiques (comme la sur-sécrétion de cytokines ccl2/Mcp1 ).

    L’autisme est causé par une élévation anormale de cytokines dans le cerveau, en cours de développement, réaction immunitaire qui va provoquer des inflammations, elles-mêmes à l’origine de multiples dysfonctionnements (activation de la microglie, perturbation des synapses, mort des neurones...). Cette élévation peut être dûe à une infection (notamment en cours de grossesse) ou à la présence d’un neurotoxique dans le cerveau. La nature a pourtant tout fait pour limiter les inflammations cérébrales chez le nourrisson... notamment via le lait maternel.

    Pour en savoir plus, les études en anglais ici.



  • 1 vote
    ELAA 11 juillet 2017 13:51

    @guepe

    Bonjour,

    je ne mens pas : je ne vois pas l’intérêt qu’il y aurait à mentir. 

    Je n’ai pas parlé d’autisme, relisez bien : j’ai parlé de TROUBLES DE LA SPHERE AUTISTIQUES, ce qui n’est pas du tout pareil.

    Ces troubles ce caractérisent notamment par un manque de concentration, difficulté d’apprentissage, dépression... Ils sont diagnostiqués lorsque l’enfant entre à l’école primaire et que les instituteurs remarquent ces symptômes nuisant à l’apprentissage. C’est assez facile à repérer malgré tout : vous parlez à l’enfant, il ne vous regarde pas. C’est très perturbant...

    Ces TSA sont dus à l’absorption dans le cerveau de sels d’aluminium des adjuvants dans les vaccins. Que vous le vouliez ou non, un jour, cette information que les neuropédiatres savent parfaitement, sera reconnue.

    J’ai mis le lien d’une étude du MIT qui va dans ce sens (même si eux, parlent "d’autisme" et non de Troubles de la Sphère Autistique TSA).

    A la différence de l’autisme à proprement parlé, on peut en guérir ou du moins, atténuer les symptômes (en ce désintoxiquant de l’aluminium contenu dans le cerveau, mais aussi dans le foie et qui provoque des douleurs digestives). C’est un régime très lourd mais efficace. Les résultats sont surprenants !

    Pour la Myofasciite à macrophages, le travail du Pr Gherardi est très convaincant. Peut-être voyez-vous une tare dans sa démarche scientifique ?

    Pour l’Hépatite B, c’est pareil : la cour de justice européenne n’a aucun intérêt à rendre le verdit qu’elle a rendu en juin dernier. 

    quelques articles pour souligner cela :

    Recombinant hepatitis B vaccine and the risk of multiple sclerosis. A prospective study. CME 2004 

    Hepatitis B vaccine and first episodes of central nervous system demyelinating disorders : a comparison between reported and expected number of cases. Annie Fourrier et all. BrJ Clin Pharmacol. 2001 

    Hepatitis B vaccine and the risk of CNS inflammatory demyelination in childhood. Yann Mikaeloff, Guillaume Caridade, Samy Suissa et marc Tardieu. Neurology 2010. 

    Ce n’est pas un argument solide, mais je vois bien dans mon entourage, que les personnes touchées par cette maladie, ont toutes été vaccinées par l’hépatite B (idem pour les TSA : infanrix hexa combiné au ROR). 

    Je me sens donc, forcément, concernée, mais avec suffisamment de recul pour réfléchir de façon lucide et documentée (ce qui ne semble pas être votre cas, puisque vous recourez à l’insulte : vous laissez vos émotions vous dominer).

    Enfin le lien que vous postez conduit à un article qui s’intitule : Etude randomisée en double aveugle de l’efficacité relative de l’innocuité d’un vaccin acellulaire contre la coqueluche comparée à un vaccin à germes entiers en milieu rural au Sénégal.

    Donc si je comprends bien, il s’agit de comparer 2 vaccins... et non pas de voir l’efficacité d’un vaccin comparé à un placebo (ce dont je parlais dans mon précédent commentaire). Votre exemple n’est donc pas recevable.

    Je me demande si votre réactivité ne serait pas un signe de déni tout à fait bénéfique ? Peut-être commencez-vous à voir que les preuves s’accumulent, que les paroles d’experts se libèrent, peut-être commencez-vous à saisir que les vaccins ne sont pas tels qu’on nous les vend depuis toujours. Peut-être voyez-vous se profiler d’autres facteurs (recherche absolue du profit par exemple) ?

    Peut-être aurez-vous le courage d’ouvrir les yeux et de remettre en cause vos paradigmes... et il n’y a rien de plus courageux, de plus difficile, de plus effrayant, en effet. 


  • 6 votes
    ELAA 10 juillet 2017 14:29

    @Tythan
    Bonjour, 

    étant père de jeunes enfants, vous ne pouvez pas vous permettre de "faire confiance". C’est tout simplement un non-sens : vous déléguez votre responsabilité en tant que parent.

    Nous avons de nos jours tous les moyens de nous informer, de creuser le sujet : vous jugerez ensuite de la pertinence des uns et des autres, avec votre intelligence et sur la base de vos propres recherches.

    Pour vous aider, voici quelques faits que lesquels vous devez vous pencher avant d’accepter toute vaccination :

    - L’infanrix HEXA (mais aussi le Quinta) contient des adjuvants d’aluminium. L’aluminium est un métal lourd qui est un neuro-toxique. L’aluminium est utilisé uniquement pour des questions de rentabilité et de facilité de fabrication industrielle. Il existe d’autres adjuvants (phosphate de calcium) qui eux, sont naturellement présents dans le corps humain.

    L’aluminium peur causer une maladie auto-immune rare (la myofasciite à Macrophages) du fait de l’injection intra-musculaire (environ 1000 cas en France, notamment dus à la campagne de vaccination des années 94-97)

    L’aluminium est probablement responsables de Troubles de la Sphère Autistique (1 enfant sur 100 est touché, aux 3/4 des garçons). le ROR (vaccin contre la Rougeole/Oreillon/Rubéole) est soupçonné de faciliter cette absorption (je tiens cette information d’un neurologue belge exerçant près de Liège et qui soigne tous ces enfants souffrant de TSA : ce médecin souligne que les TSA ne sont pas de l’Autisme, la confusion empêche notamment la diffusion de l’information)

    Cette hypothèse est malgré tout renforcée par cette étude du MIT (Harvard), en anglais.

    Etat des lieux tout récent sur l’aluminium vaccinal (mars 2017) : regardez de près les travaux du Pr Gherardi de l’hôpital Mondor qui explique comment l’aluminium migre dans le corps, jusqu’à atteindre le foie et surtout le cerveau.

    - L’hépatite B peut causer la sclérose en plaque (en particulier aux filles) : la cour de justice européenne vient de juger en ce sens

    Les vaccins bénéficient d’un traitement de faveur. Contrairement aux autres médicaments, ils ne sont jamais testés en double aveugle (comparatif vaccinés/ placebo). Donc il n’existe aucune preuve scientifique de leur efficacité, alors qu’il serait facile de réaliser ces tests, comme avec n’importe quel médicament.

    Les labos (Sanofi et GSK, ce dernier étant le propriétaire exclusif du brevet de l’hépatite B) préfèrent discréditer les lanceurs d’alerte. Ca coûte moins cher que de remettre en cause leurs façons de faire (en remplaçant l’aluminium par le phosphate de calcium, par exemple).

    Au fait, il n’y a de figure anti-vaccin en France : si vous faites référence au Pr Joyeux, celui-ci ne demandait qu’un retour au DTP simple, sans aluminium, vaccin qui existait jusqu’en 2008 mais que Sanofi a retiré (il ne coûtait que 24 euros... contre 120 euros pour un hexavalent qui ne correspont pas à l’obligation vaccinale française). Renseignez-vous : nous sommes plus d’un million à avoir signé sa pétition, et le Conseil d’Etat, le 8 février 2017, a donc sommé les labos de refabriquer ce vaccin...

    Vous comprenez mieux d’où vient l’obligation des 11 vaccins ? C’est uniquement pour être conforme avec la loi. Puisqu’on ne veut pas remettre sur le marché le simple DTP (trop peu coûteux), ils vont changer la loi afin de l’adapter à leurs produits. Vous voyez bien qu’il n’y a aucune urgence épidémiologique... (si ce n’est celle des troubles de la sphère autistique).

    Enfin, deux études intéressantes à analyser :

    http://reseauinternational.net/etudes-sur-la-sante-des-enfants-vaccines-et-non-vaccines/

    à croiser avec l’étude KIGGS de l’institut Koch en Allemagne

    Oui vous trouverez toujours des gens (médecins ou non) pour critiquer ces études indépendantes... Alors c’est à vous de choisir, d’étudier et de comparer. Bref, c’est ça aussi être parent. Ensuite, vaccinez en pleine conscience.

    Ps : sachez qu’il n’est pas nécessaire de faire les rappels : une simple prise de sang peut dire si l’enfant a les anticorps ou pas. Cela évite de surcharger l’organisme avec de l’aluminium.

    rePS : la vidéo de la Tronche en Biais est toute aussi biaisée que celle de la maman anti-vaccin (notamment en faisant appel au pathos, qui n’a rien d’un argument raisonnable). Ne vous arrêtez pas à une vidéo : lisez, comparez. C’est important pour vos enfants.

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