Le travestissement comme argument théâtral humoristique est sans doute aussi vieux que l’humanité. Se travestir, et plus généralement se déguiser, est drôle parce que ridicule. Dans un cabaret ou par exemple dans le fameux clip de Freddie Mercury la bizarrerie est amusante. Et il n’y a pas de quoi en faire un plat. Mais ce sont les artisans du camp du "progressisme" qui veulent en faire un plat de résistance obligatoire en toutes circonstances. Et nous le servir à toutes les sauces. Comme ici, à la sauce olympique. Mais quel rapport entre les travelos et autres femmes à barbe... et les valeurs, la philosophie ou l’esthétique du sport ?