@Opposition contrôlée Il n’y a rien d’étonnant militairement parlant à ce qu’un attaquant qui veut attaquer pour attaquer vise une vaste zône peu défendue, l’attaqué estimant, dans ce cas particulier à tord que cette région, vue sa profondeur, n’a pas d’intérêt stratégique évident pour un attaquant. et donc ne mérite pas qu’on y immobilise toute une armée pour rien. Le point critiquable est alors une fois de plus le défaut d’alerte des Services de Renseignement ou le défaut de prise en compte. Tout cela n’a historiquement rien d’étonnant. La II° WG est riche de ces situations.
La Guerre est dans tous les cas un équilibre ou déséquilibre dynamique de tous les instants. Pour l’instant dans le cas particulier on est TRES loin de l’engagement des formidables masses de manoeuvres des I° et II° WG, et cela se présente comme un épisode de plus dans cette confrontation qui n’aurait pas du avoir lieu si les Accords de MInsk II avaient été respectés.