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jjwaDal 10 août 17:43

Je pense depuis longtemps qu’au procès de Nuremberg on a volontairement jugé des "lampistes" pour ne pas juger les véritables coupables. La structure sociale nous assène l’impératif de soumission dès l’enfance, y compris aujourd’hui, soumission aux parents (sinon…) soumission à la maitresse d’école, à la loi, à la police, au supérieur hiérarchique, avec rapports de forces potentiellement violents à tous les étages si on ne courbe pas l’échine.
Pourquoi au procès de Nuremberg accuser des "lampistes" formatés à obéir depuis l’enfance, militaires et en temps de guerre, où la désobéissance aux ordres est fatale d’avoir eux mêmes été instruments de l’horreur et avoir donné des "ordres" ? Si ces individus s’en étaient abstenus, d’autres inévitablement auraient été à leur place, les structures sociales étant implacables et trouvant toujours des effecteurs pour prévaloir.
On s’est bien gardé de juger des structures sociales qui au fond sont restées globalement les mêmes, on le voit par ex avec les conflits en Ukraine ou en Palestine, ou le "chef" décide d’envoyer à la boucherie un peuple sans lui demander son avis (ce qui en dit long sur le caractère de pseudo démocraties de ces entités).
On l’a vu aussi pendant l’épisode Covid 19 , où on s’est torché avec les connaissances limitées données par la Science pour contraindre dans la violence les populations à faire ceci et cela, stigmatisé ceux refusant l’adhésion sans examen à des croyances absolument pas étayés par des faits établis (efficacité du masque, efficacité des "vaccins", "absence de dangerosité de ceux-ci, etc...).
On a vécu une vie sociale décidée depuis un "bunker", lors de "conseils de défense" en petit comité, sans qu’on puisse ultérieurement savoir a postériori qui a dit quoi, sur quelles bases, avec quels conflits d’intérêts.
On a collé des milliers d’amendes pour non port de masque dans des rues quasi désertes ou d’un "couvre-feu", alors que rien n’indiquait une quelconque efficacité de celui-ci en extérieur (la meilleure science indique d’ailleurs que globalement la réduction du risque ne semble émerger qu’en milieu hospitalier au contact de malades du Covid 19) et n’est pas visible dans les meilleurs études disponibles.
La population générale a été confronté à l’arbitraire de décisions injustifiées et parfois injustifiables (violer le "Code de Nuremberg" alors qu’il aurait fallu revenir de 25 ans dans le futur pour SAVOIR l’absence de dangers de ces thérapies géniques) et on a vu l’acceptation globale de l’intolérable, alors que nos yeux menteurs voyaient autour de nous que peu de choses se passaient.
Qui sait si les "refuzniks" de ces injections discutables n’auraient pas connu le sort des juifs en Allemagne nazi (avant le four crématoire on l’espère), stigmatisés, marginalisés, socialement exclus, privés des espaces publics et du travail si l’épidémie avait été un tant soit peu méchante ?

En Autriche un sondage à l’époque montrait une majorité de la population favorable à des camps de regroupements (concentrations ?) des "testés positifs, quand le découvreur de la PCR disait que sa technique ne pouvait désigner les malades et contagieux.
Nous sommes à deux doigts de formes de néo fascisme si l’occasion se présente, parce que les structures sociales sont bâties pour nous y faire naturellement glisser si l’occasion se présente, guerre, épidémie, crise financière catastrophique, etc.
C’est notre avenir, la question n’étant pas de savoir si ça peut arriver, mais quand ça arrivera, quel sera le facteur déclenchant. Où sont les "Antigone" parmi nous ? Peu nombreuses, à en juger par ce qui s’est passé ici pendant une épidémie somme toute modeste.




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