@nono le simplet
Le concept est diffus dans son oeuvre, mais il est bien présent, et quoi qu’il en soit, il est performatif, comme l’exemple irakien peut l’illustrer, qu’on admette ou non que le chaos était une politique volontaire, il est certain qu’elle ne peut pas être pratiqué "à visage découvert" vis-à-vis de l’opinion. La victimisation est donc un excellent moyen de communication pour réaliser cette politique en la mettant sur le compte "d’erreurs". Ton appréciation "plus bourrins que pervers" est d’ailleurs également — potentiellement — le produit de cette stratégie.