Boualem Sansal est un militant anti-islam, donc se rendre en Algérie où l’islam est religion d’État faisait de lui un mort en sursis.
Il s’est jeté de sa propre initiative, dans la gueule du loup.
Dans le Coran, critiquer l’islam vaut la peine de mort.
Le gouvernement français, terrorisé par les Algériens, n’a même pas daigné convoquer l’ambassadeur d’Algérie pour demander des explications et la libération de Boualem Sansal, citoyen français.
Concernant le journaliste algérien, il n’a pas tort lorsqu’il proclame que la "démocratie" française est à géométrie variable : à la solde du lobby juif et limitant la liberté d’expression à sa convenance.