Pauvres petits innoncents : ils empêchent les non grévistes de travailler, ils nuisent à la sécurité des uns et des autres, ils énervent tout le monde, une cinquantaine d’énergumènes mettent des centaines d’étudiants et d’administratifs sous pression, et après, ils s’étonnent qu’un chef d’établissement cède à la colère ??
J’accord tout mon soutien et toute mon indulgence au personnel des universités contraints de travailler dans des conditions aussi difficiles et je n’aurai aucune larme pour ceux qui jouent l’innoncence feinte. Car nous savons très bien qui est la "victime" et qui est "l’agresseur".
Icks PEY