Al-Sira (lavie du prophète rapportée par ses compagons) nous donne des renseignements historiques sur la première communauté musulmane. C’est ainsi que d’après les textes officiels, Mahomet, demanda à son ami Abou Bakr la main de sa fille Aïcha alors qu’elle n’avait que 6 ans après l’avoir vu jouant à la balançoire près de chez elle ; Comme son ami s’étonnais de sa demande, il lui proposa en mariage une de ses filles plus âg&ée, mais le prophète de l’islam persista. L’union ne fut en faite complètement consomée que lors Aïcha eut neuf ans. Ce livre nous permet de constater que toutes les opérations militaires étaient suivies de pillage et de viols collectifs : "A Hunayn, le messager de Dieu ordonna que l’on assemblat tout le butin et fit dire à son crieur : Que personne ne touche au butin. Les captifs et le bétail furent réunis dans un même enclos. Les musulmans se ruèrent sur les femmes. Ne voulant pas de celles qui étaient mariées (plus vierges ou trop agées) ils demandèrent au messager de Dieu comment procéder. Celui_ci répondit : Ne prenez pas de femme enceinte ni d’autre femme avant qu’elle ait eu le sang menstruel. (12-10-9 ans)(tome II 10° partie ch.1) A un autre moment, après une attaque des musulmans sur le clan des Jîdhâm alors que le butin s’élevait à 1000 chameaux, 5OOO moutons et près de 500 femmes et enfants, le chef de cette tribu, plutôt que d’engager le combat demanda à parler au chef des 5OO musulmans pour l’aviser que lui et sa tribu étaient des gens d’islam. Ce dernier ne voulu cependant pas relacher les prisonniers avant d’avoir reçu l’ordre du prophète." C’est ainsi que les musulmans durent restituer tout ce qu’ils avaient pris. Dans certains cas, il fallut tirer les femmes de sous les corps des hommes." Ce sont des faits qui ont été rapportés par les compagnons de Mahomet, tous musulmans et dont les paroles n’ont jamais été démenties par les croyants, mais il est manifeste que le mensonge est la qualité suprême des musulmans qui suivent leur "beau modéle" qui accorda l’autorisation de mentir pour mieux mettre en confiance ses enemis avant de les exécuter. : "Le messager de Dieu dit alors : Seigneur délivres moi de Ka’B bin al-Ashraf ainsi que des poèmes qu’il compose et va récitant partout. Qui se chargera de cet homme qui me fait du tort ? Muhammad ibn Maslama se leva et dit : Moi je me chargerai de lui. Je le tuerai....Ce cernier s’entoura de quelques hommmes de la tribu des Aws qui allèrent voir le messager de Dieu et lui dirent : Pour parvenir à tuer cet homme, nous te demandons la permission de mentir. Il leur répondit : Faîtes". C’est ainsi que l’un d’entre eux qui était le frère de lait de la victime lui confiat : "L’arrivé de parmi nous de cet homme Muhammad, a causé notre malheur. Elle a conduit les arabes à nous combattre et à s’unir contre nous...J’ai quelques amis qui partagent mes sentiments et que j’aimerai amener ici avec moi...C’est ainsi qu’après avoir endormi sa méfiance, il fait entrer le groupe armé : "Abû Nâîla passa les doigts dans la chevelure de la victime...puis s’en saississant brusquement pour le clouer sur place, il dit à ses amis : Tuez l’enemi de Dieu ! (Tome II, 3°P. ch. 3) et plus loin : "Ils s’accordèrent sur cette façon d’agir (taire la vérité), sachant que le messager de Dieu les avait autorisés, en cas de besoin, à mentir, à dénigrer les musulmans et même à insulter sa personne." Tome II 10°P. ch. 6). Et ce ne sonque quelques passages qui montre la réalité de cette religion qui a servi à son prophète auto-préclamé à se comporter, peu après son installation à Médine plus comme un chef de guerre belliqueux et revenchard que comme un prophète. C’est ainsi qu’il va décidé d’attaquer les caravanes mecquoises pour se procurer du butin, faisant dire à ses compagnons : "Alors que nous étions persécutés à La Mecque tu nous disais de patienter et de ne pas répondre aux provocations des idolâtres et maintenant, tu nous demandes d’attaquer (les riches caravanes) certains ajoutant même qu’il agissait plus pour le butin que pour la religion, tant il est vrai que les premières expéditions n’avaient qu’un but lucratif. Ce n’est que plus tard, qu’il va donner à ses combats un caractère religieux, pour lui permettre d’attaquer en tout lieu, tou temps et par n’importe quel moyen et étendre son action à tous les infidéles. C’est ainsi que la guerre sainte va devenir un véritable commandement pour tous les musulmans, le seul permettant à la fois de s’enrichir légalement tout en assurant en cas de mort au combat d’occuper une place privilégiée au paradis en y accédant directement sans jugement dernier et de se voir attribuer les 72 vierges permanentes. "La piété consiste à combattre au service de Dieu" (et de son messager). Il ne s’agit nullement de combat contre soi-même notion apparue beaucoup plus tard, mais de combats réels suivis de pillage et de viols collectifs. C’est ainsi que Médine, pauvre bourgade agricole, sans commerce caravanier ni artisanat va pouvoir s’enrichir par le butin ainsi que par l’appropriation des biens des juifs, chassés dans un premier temps de leur oadis avant d’être exterminés.