La faussaire Caroline Fourest est toujours habile dans le découpage des citations et des sorties de contextes.

Ledit extrait vidéo ressort d’une conférence donnée dans l’Île de la Réunion auprès des français musulmans locaux.

Tariq Ramadan, dans le contexte de l’extrait tiré par Tata Caroline dénonce la duplicité des musulmans quant à l’étique et à la morale, quand il s’agit pour certains de lâcher complètement les brides à leurs garçons (qui partant s’en vont s’enliser carrément dans la délinquance, le cas échéant) alors qu’ils sont plus que trop regardants, au delà de l’excès même, concernant la préservation de leurs filles.

Concernant donc ce passage de la piscine, Tariq Ramadan dénonce la dualité consistant à interdire aux femmes la fréquentation de piscines mixtes, tout en autorisant à la gente masculine le fait d’en fréquenter, qui y se rendent non seulement pour nager, mais pour autre chose.

Tariq Ramadan, tout au long de sa conférence parle de la droiture, de la morale (dans nos sociétés modernes), de la sincérité, la sincérité du coeur, et parle surtout surtout du coeur et de ses diverses maladies, et de la façon de les guérir, par la sincérité totale et le retour à l’AMOUR TOTAL.

Une fois de plus, Tariq Ramadan parle dans cette conférence (comme dans tant d’autres) de l’AMOUR, et sur cet organe qui en est la pompe et la niche.

L’amour, dans la bouche de Tariq Ramadan, n’est pas un concept étroit. Que les étroits d’esprits ne se hâtent pas de mal l’interpréter. Tariq Ramadan vise des choses bien grandioses.

Allez, voici le lien vers la capture audio de cette conférence.

Les grands pêchés :

 fichiers mp3 à dézipper (la partie soit-disant incriminée se trouve dans le deuxième fichier)

http://www.vert-islam.org/download/Conf-Tariq/Etre_avec_Dieu%2804%29.zip

 fichier ram pour écoute streaming via realplayer

http://www.vert-islam.org/real/ED04.ram

Ne laissez pas Caroline Fourest vous dicter ce que vous devrier penser et comment vous devriez juger Tariq Ramadan.

Jugez ce dernier par vous-mêmes. Je vous le dis d’avance : vous risqueriez que de trop l’aimer.