La fin de cette interview est remarquable en ce qu’elle révèle les liens tissés entre le FN version Marine le Pen et le sionisme ("merci Marine le Pen, merci d’être avec nous"). Elle ne critique jamais la politique criminelle de l’Etat sioniste et se contente d’omettre le communautariste juif d’obédience sioniste tout en claironnant celui factice d’un prétendu communautarisme musulman (les édifices cultuels juifs sont mis sous le voile de l’omerta alors qu’à l’opposé on crie au loup à la moindre tentative de construction d’un édifice cultuel islamique = propagande diabolisante). Il ne vous a pas échappé que Marine le Pen est membre de l’association Europe-Israél au parlement de l’UE et que si un jour elle parvenait à devenir député à la représentation nationale, elle ferait de même en s’associant avec les amis de France-Israél.
Elle a choisi son camp en adhérent au sionisme politique et en allant en Israél devant le monument consacré à la mémoire de l’holocauste pour solliciter l’accréditement qui lui permettrait de se faire aider par les compagnons de la mémoire et de la pleurniche autour desquels nos hommes politiques Français s’agenouillent en implorant la grâce et l’aumone.