Quand des caricaturistes croquent le faciès de Guillon, ils ne le rendent pas toujours très sympa, voyez vous-mêmes :
L’art de Guillon, c’est le verbe. Il croque lui aussi ... avec des mots.
Reconnaissons qu’en ce qui concerne Besson, sa fourberie un jésuitique et son air de premier communiant est une source d’inspiration inépuisable.