Si vous pensez que la guerre est un simple plaisir de revanche, libre à vous de nier la crise de 29, la république de Weimmar et le manque de nourriture qui permit à moindre frais d’instaurer une dictature privatisée.

Si vous voulez absolument établir un parallèle, sachez que les grands patrons (les forges, la banque Woerms,...) français voulaient la victoire allemande et que l’armé était volontairement inférieure. 

Quand à la banque de France, elle a fourni de l’or à Franco en plein gouvernement socialo (c’est dire si c’était bien une époque de gouvernement privatisé comme maintenant). Franco se chargeant de reverser les 3/4 à Hitler pour son aide, c’est donc tout simplement une trahison.

Curieusement à la libération, même si des mesures strictes pour empêcher de nouveau des dictatures privatisés (crédit publique sans intérêts, scission des activités des banques pour empêcher les prises en otages des dépôts dans des investissements à risque,...) sont prises, bien peu de médiatisation sur la finance des fascismes aura lieu. Ça nous aurait pourtant épargné l’amnésie après les 30 glorieuses puisque maintenant c’est la haine primaire contre les nations qui domine comme si c’était ça la base du conflit. Ce que vous avez l’air de penser.

Reste la fameuse menace bolchévique qui sert à justifier tout ce que je viens de dire. Il est piquant de constater que le bolchévisme non parlementaire (qui a gagné en Russie) a été soutenu par Wall Street (Guaranty Trust = banque centrale bolchévique = Morgan) jusqu’à Stalline qui redonnera un tournant nationaliste (suprême affront aux mondialistes) à cette révolution en 1921 (devenant fou à l’idée que les mêmes moyens soient mis contre lui que pour le Tsar). Seulement à cette époque le bolchévisme devient un problème pour les financiers anglosaxons. Donc acte.