C’est une honte. Plus qu’une honte. Car s’égosiller de la sorte dans le seul but de remettre en cause une marche "démocratique" et "logique" du fonctionnement d’un vote à l’assemblée uniquement pour (et c’est la valeur essentielle de la symbolique d’un tel emportement de la part de Morano) refuser l’idée que ces quelques malheureux sous octroyés à la naissance de l’enfant reste valide et digne, garde une valeur sociale, une valeur d’aide, d’égalité, de partage, de communauté et d’union du peuple, cela démontre violemment, vulgairement aussi, à quel point ceux qui nous gouvernent éprouvent une haine du peuple et un tel amour de leur "maîtres" qu’ils feraient tout pour continuer à leur plaire... Comme aboyer incessamment et honteusement face à un vote fait dans les règles.
C’est parfois dans ce type d’"anecdotes" que l’on peut le mieux se rendre compte de la haine qu’éprouve ce type de personnes à l’égard des petites gens ; surtout quand ils en sont originaires, comme c’est le cas de Morano, si je ne m’abuse.