Quand au droit du sang non seulement ce n’ est pas dépassé, mais à l’heure de la grande casse de l’ Etat nation (et du grand brassage des cultures) cela devient plus que jamais le principal critère d’appartenance nationale. Ainsi, quand je croise des femmes voilées des pieds à la tête et des bonhommes barbus en djellaba, peut me chaud où ils sont nés et quelle est leur nationalité de papier, pour moi ce ne sont pas des Français, pas plus que les lobbyistes du CRIF.