Si elle pose une question : quels sont les faits et les données en matière d’immigration ?
C’est largement suffisant pour se faire traitre de parti pris et de racisme et c’est aussi pourquoi les associations concernées se battent pour l’interdiction de la collecte et de la diffusion des données ce qui leur permet ensuite d’attaquer les gens en diffamation au prétexte qu’il n’existe pas de données.