Le coup du steak est quand même sublime : l’homme de "gauche" au gros bide, payé des centaines de milliers par mois pour rien foutre à la tête d’un FMI destructeur au possible, se bourre la gueule d’un steakos plus large que l’assiette devant des Français dont un "certain nombre" n’a probablement l’équivalent du dit-steakos sur un mois complet.
Et voilà comment le génie de monsieur l’amène à nous rappeler comme il est "vrai" socialiste.