Le capitalisme et l’oligarchie ne prospèrent que si nous, bons esclaves, continuons à consommer, s’endetter comme des moutons pour assouvir des besoins qu’on nous inflige à grand renfort de frustration publicitaire. Si nous arrêtons cette frénésie consumériste, la bête s’affaiblira et nous mangera alors dans la main. N’oublions pas que sans nous, ils ne sont rien !